lundi 30 avril 2007

homophobie


Deux jeunes gens qui avaient poussé un homosexuel dans un canal en août 2003 à Nancy causant sa mort par noyade ont été condamnés chacun à cinq ans de prison dont 3 ans avec sursis et mise à l'épreuve, par la cour d'assises des mineurs de Meurthe-et-Moselle.

Des peines de cinq ans de prison dont trois avec sursis et de trois ans de prison dont 18 mois avec sursis avaient été requises par l'avocat général Cédric Laumosne contre les accusés, âgés de 20 ans, qui ont agi "imprégnés par une homophobie latente".

Il était reproché aux deux jeunes gens, alors âgés de 17 ans, d'avoir poussé la victime dans l'eau alors qu'ils circulaient à cyclomoteur sur le bord d'un canal, connu à Nancy comme un lieu de rencontres isolé. Ils étaient repartis sans répondre aux appels à l'aide de l'homme qui ne savait pas nager et s'était noyé.

Ils répondaient depuis jeudi de "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec préméditation et en raison de l'orientation sexuelle de la victime".

Selon Me Olivier Nunge, avocat de la soeur de la victime, "la peine qui prend en compte l'excuse de minorité est conforme à la jurisprudence".

Pour Me Paul Kéré, l'avocat de l'un des accusés le verdict "a été accepté par les deux jeunes gens qui veulent maintenant faire le deuil de cette affaire".

Les accusés avaient demandé la publicité restreinte pour ce procès. Seuls les proches de la victime et des accusés ont pu y assister.

pas cher paye pour un tel chef d'accusation violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner, avec préméditation et en raison de l'orientation sexuelle de la victime et dire qu'on parle de tolerance....

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ACCIDENT DE MANÈGE DANS LE PAS-DE-CALAIS

Huit personnes ont été sérieusement touchées et conduites au CHR de Lille et deux autres encore plus gravement. Les autres blessés ont été soignés sur place.



Après l'accident qui s'est déroulé dimanche 29 avril vers 15h00, les personnes évacuées du manège se sont plaintes de problèmes de dos. Elles étaient semble-t-il assises au moment du choc qui n'a donc que très peu était amorti par les jambes.

Plusieurs enfants ont été blessés : les victimes sont âgées de 4 à 58 ans. Les gérants du parc d'attractions se sont dits attristés pour les victimes et leurs proches et également choqués.

Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de Saint-Omer. D'après les premiers témoignages, un examen du manège venait d'avoir lieu il y a quinze jours. L'expert aurait estimé que le manège était en parfait état de marche.

Ces contrôles ont lieu tous les ans pour les manèges à risque et tous les trois ans pour les autres manèges mais l'accident d'hier après-midi va encore relancer, après les accidents survenus à Creil en avril 2005, et à Lille en mars de la même année, la question de l'efficacité de ces contrôles.

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procédés d'un autre age !!


La police indienne a secouru une femme de 40 ans séquestrée par sa belle-famille pendant 15 ans dans une chambre car elle ne pouvait pas verser une dot suffisante.

Selon des policiers, Madhavi Das était nue et enfermée dans cette pièce quand la police est intervenue samedi dans le logement avec l'aide des voisins.

"Elle a été admise dans un hôpital psychiatrique car des années d'isolement ont affecté sa santé mentale", a déclaré dimanche un haut responsable de la police, Siddhi Nath Gupta.

Trois membres de sa famille, dont son mari, ont été arrêtés.

En Inde, la majorité des cas de violence domestique sont liés à des problèmes de dot. Des femmes sont victimes de mauvais traitements, battues voire tuées par leur belle-famille quand cette dernière juge qu'elle n'apporte pas assez de cadeaux et d'argent à son mari ou à sa famille au moment du mariage.

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samedi 28 avril 2007

ou est passe l'argent ?


Des 850 millions de dollars d'aide internationale aux Etats-Unis après le passage de l'ouragan Katrina en 2005, 40 millions seulement ont été dépensés. Et la plupart de ces promesses n'ont jamais été collectées.

L'acheminement de fournitures, de médicaments et de services offerts pour pallier la mise hors service des réseaux de téléphonie mobile ou proposer des hébergements d'urgence aux victimes de la catastrophe aurait été retardé, sinon rejeté en raison de l'incapacité de l'administration fédérale à les gérer.

Le quotidien "Washington Post" s'appuie sur les documents collectés par une organisation de la société civile, Citizens for Responsibility and Ethics. Le dossier est constitué de 10'000 pages de notes de diplomates américains en poste dans le monde.

Selon le "Washington Post", les Etats-Unis ont décliné 54 des 77 propositions d'aide émanant de trois de leurs plus proches alliés (Canada, Grande-Bretagne et Israël).

L'administration a également rejeté de nombreuses offres étrangères de mise à disposition de militaires et d'équipes de recherche alors même que des habitants de La Nouvelle-Orléans étaient encore bloqués chez eux, réfugiés sur les toits de leurs habitations, attendant d'être évacués।

ou est passe l'argent des dons ? a qui cela a t'il profite ? et apres on va s'etonner que les gens n'osent plus donner !!

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mercredi 25 avril 2007

en toute illégalité, la direction de Casino a préféré licencier


Devant la multiplication des plaintes de gérants, le groupe préfère licencier la déléguée syndicale. En toute illégalité.

Il fallait à tout prix la faire taire, l’empêcher de tisser un lien syndical entre tous ces gérants de Petit Casino qui, depuis fin 2006, dénoncent devant la justice leur « contrat d’esclave ». Alors vendredi, en toute illégalité, la direction de Casino a préféré licencier Noëlle Mini, déléguée CGT. Dans son magasin situé près des halles, à Biarritz, cette gérante a vu arriver à 8 h 30 le directeur régional des ressources humaines de Casino, accompagné de quatre autres membres du groupe et d’un huissier. « Ils m’ont remis ma lettre de licenciement avant de m’enfermer toute la journée dans le magasin pour m’obliger à réaliser l’inventaire de sortie, raconte cette gérante, qui touchait chaque mois 1 380 euros, à raison de 60 heures par semaine. La version officielle dit que je ne réalisais pas assez de chiffre d’affaires. Pipeau ! Ils ont voulu me couler : la direction commerciale m’imposait des prix les plus élevés de la ville, m’empêchait d’installer de nouveaux produits, ne me remboursait pas ce que le groupe me devait... »

Or, dans sa précipitation à se séparer de Noëlle Mini, Casino n’a pas demandé l’autorisation de licenciement à l’inspection du travail, une démarche pourtant obligatoire dans le cadre d’une rupture de contrat d’un salarié protégé।

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histoire d'un ado qui revait d'etre une star victime de son reve


Gilbert Boeuf, 47 ans, est accusé d’avoir violé un adolescent qu’il avait promis de transformer en star de la chanson. Il est actuellement jugé par la cour d’Assises avec ses deux complices.

Fils d’une serveuse de Rillieux-la-Pape, Bryan rêvait d’être une vedette. Courant 2002, alors qu’il n’a que 14 ans, il croise par hasard Gilbert Boeuf qui est un véritable personnage dans cette petite ville de la banlieue lyonnaise où il se présente comme un “coach vocal”, prêt à mettre ses talents au service de jeunes artistes. Il a même un pseudo : Jean-Philippe Charrier, “JP” pour les intimes, et il a créé le “Jenny Team”, une “école du spectacle”. En fait, une association qui porte le prénom de la première adolescente qu’il a coachée. Ce moustachu d’apparence joviale en impose aussi par sa forte corpulence, à la limite de l’obésité, qui contraste avec sa voix fluette et ses manières efféminées.

Bryan, un petit joufflu aux cheveux courts dont la voix n’a pas encore mué, semble une cible intéressante pour Boeuf. Il va donc proposer à la mère de Bryan d’être son manager. Un contrat est même signé.

Pourtant, suite

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bien fait on n'a pas idee d'etre aussi pretentieux


Un conducteur de 25 ans, qui avait frimé sur internet avec une vidéo le filmant au volant de sa voiture à 225 km/h sur une route limitée à 110 km/h, a été convoqué par la police et sera jugé ultérieurement, a-t-on appris mercredi de source policière à Lunéville (Meurthe-et-Moselle).
Le jeune homme, qui avait signé ses prouesses "Loïc et sa trottinette", a été confondu par un policier curieux, tombé par hasard sur une vidéo intitulée "Je ne serai jamais plus en retard", sur le site YouTube.

Le compteur de l'automobile, filmé par un passager, affichait 225 km/h au lieu de 110 sur une rocade puis 100 km/h en ville.

La vidéo révélait aussi le modèle précis et la marque du véhicule.

En plus, "dans le film il y avait un petit éclat sur le pare-brise, qui rend le véhicule identifiable et qu'on a retrouvé sur sa voiture. La scène correspond", a indiqué un policier.

Malheureusement pour l'anonymat de l'as du volant, les fichiers de la police n'ont livré qu'un seul propriétaire prénommé Loïc en Meurthe-et-Moselle pour le modèle de voiture recherché.

L'auteur présumé du délit, qui habite Lunéville, avait déjà perdu des points pour un excès de vitesse en ville. Il a été convoqué et placé en garde à vue.

Mis en examen pour "mise en danger de la vie d'autrui", le jeune homme sera jugé le 21 juin par le tribunal correctionnel de Nancy।

tres con sur le principe davoir etale ses exploit sur le net tres con de part son comportement j'espere que la justice sera severe

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mardi 24 avril 2007

Mexico légalise l'avortement, malgré l'Eglise


Malgré les menaces de l'Eglise catholique, la municipalité de Mexico a autorisé mardi l'avortement au cours des trois premiers mois de grossesse, à la grande satisfaction des organisations féministes.

Le conseil municipal a adopté un texte proposé par la gauche par 46 voix contre 19.

Cette proposition a profondément divisé les habitants de la capitale mexicaine. Le pape Benoît XVI avait adressé la semaine dernière un courrier aux évêques mexicains, les enjoignant de s'opposer à cette mesure.

La police anti-émeutes a eu fort à faire pour maintenir mardi à bonne distance partisans et adversaires de cette proposition. Des manifestants anti-IVG diffusaient notamment des enregistrements de cris de bébés et portaient de petits cercueils blancs.

L'avortement restera illégal dans le reste du pays। Il est fort probable que les anti-IVG contestent devant la Cour suprême la décision de la mairie de Mexico.

suite

de toute facon avec l'eglise faut faire des gosses peu importe la situation qu'on sache les nourir ou pas apres tout a les ecouter c'est la foi qui donnera a bouffer a la fin du mois qu'on soit malade la aussi pas important a croire que la croyance en un dieu efface les problemes

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dimanche 22 avril 2007

on achete tout et n'importe quoi sur e bay


Le tueur de Virginia Tech était allé sur le site Internet e-Bay pour acheter des recharges de munitions pour l'une des armes qu'il a utilisées dans le massacre de lundi, a confirmé samedi un porte-parole du site de vente aux enchères en ligne.

Sous le pseudonyme Blazers5505, Seung-Hui Cho a ainsi acheté deux boîtes de 10 cartouches pour Walther P22, l'une des deux armes à feu utilisées dans la pire tuerie de l'histoire moderne des Etats-Unis qui a fait 33 morts, dont Cho.

Les munitions ont été commandés le 22 mars à une armurerie de l'Idaho.

Cho a en outre vendu plusieurs livres qui traitaient de sujets violents, des billets pour l'équipe de football universitaire de Virginia Tech et des calculatrices graphiques qui contenaient des jeux.

Selon le site Internet, Cho avait ouvert son compte en janvier 2004।

il serait temps qu'e bay fasse un nettoyage sur ce qu'on peux acheter via leur site

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sego contre sarko


15 raisons de battre Sarkozy

avant de vous diriger aux urnes pour le prochain tour, prenez le temps de lire ceci
sarkozy un homme dangereux

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samedi 21 avril 2007

Quatre femmes forcent deux jeunes enfants à se battre et les filment


Une mère et ses trois filles, qui avaient forcé deux très jeunes enfants à "se battre comme des chiens" devant une caméra, ont écopé d'une peine de prison de un an avec sursis, ont rapporté samedi les médias britanniques.

Zara Care, 21 ans, la mère des deux enfants, avait avec ses deux soeurs Serenza Olver, 29 ans, Danielle Olver, 19 ans, et sa mère Carole Olver, 48 ans, mis en scène le combat entre son garçon de deux ans et sa fille de trois ans.

Les images vidéos montrent les quatre femmes harcelant et insultant les deux bambins en pleurs, contraints à se frapper violemment, au recours parfois de magazines ou d'une brosse à cheveux.

Rendant sa sentence, le juge de Plymouth (sud-ouest de l'Angleterre), Francis Gilbert, a qualifié de "choquante" la vidéo. "Vous avez ri d'eux, vous vous êtes moquées d'eux, vous les avez insultés. Vous les avez obligés à se frapper même s'ils ne le voulaient clairement pas. Vous avez été cruelles, sans coeur, obligeant les enfants à se faire du mal pour votre propre plaisir", a-t-il déclaré aux accusées.

Il s'en est pris particulièrement à la grand-mère, qui avait estimé n'avoir rien fait de mal et que cet exercice était censé "endurcir" les deux enfants.

La vidéo avait été découverte par hasard par le père, un militaire de retour d'Irak, qui avait averti la police, horrifié d'avoir vu ses deux enfants "se battre comme des chiens"।

sont completement tares ces bonnes femmes On devraient en faire autant avec elles On les fou sur un ring et on les oblige a se taper dessus

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Un Yorkshire fondu à l'acide



John et Michel (noms d'emprunt), des Boussutois de 17 ans, ont comparu hier matin devant la juridiction des adultes. Le tribunal de la Jeunesse s'est en effet dessaisi de leurs dossiers, se déclarant incompétent face aux "risques de récidives et à l'absence de remise en question ou d'amendement des prévenus" qui ont déjà fait l'objet de plusieurs placements en IPPJ. John comptabilise à lui seul 38 ordonnances du juge de la Jeunesse ! Détenus à la prison de Mons depuis 4 mois, ils devaient répondre d'une soixantaine de délits, commis pour la plupart en 2006 dans le Borinage. Vols de voitures, fraude à la carte bancaire, port de couteau...

Le point d'orgue de leur prometteuse carrière date du 7 novembre dernier, dans la cité Cornez de Hornu. Poussés par le froid - selon leurs déclarations, les deux compères s'introduisent chez une quinquagénaire, Brigitte L., absente de son domicile. Et ils s'y installent comme chez eux. Ils dévorent des pizzas trouvées dans le frigo, boivent du vin, souillent les lieux, le tout en regardant la télévision. C'est alors qu'ils entendent aboyer Tommy, un vieux Yorkshire de 12 ans. Le seul compagnon de Brigitte. Ulcérés par les cris de l'animal, ils l'enferment dans les toilettes. Mais Tommy continue d'aboyer. Ils l'aspergent alors de détergents (Dethol et ammoniaque), lui ouvrent la mâchoire et lui font avaler le contenu d'une bouteille. La pauvre bête agonisera une demi-heure. Pendant que ses bourreaux regardent tranquillement la télévision.

Lorsque Brigitte rentre, elle tombe nez à nez avec les deux ados qui s'enfuient। Et découvre le cadavre de Tommy, la gueule fondue par l'acide. "Qu'ils entendent par ma voix le mal qu'ils ont fait à ma cliente", concluait hier Me Discepoli, qui se constituait également partie civile au nom de la Croix Bleue de Belgique, une asbl protectrice des animaux. Le parquet réclame au minimum deux ans de prison ferme. Jugement le 4 mai.

je suis pas fan des york mais la c'est ni plus ni moins que de la monstruosite du barbarisme inutile et meme si ce sont de mineurs ils doivent etre punit tres severement et un grand suivit psychiatrique est necessaire Qu'on ne me dise pas qu'ils n'avaient pas conscience d'un tel acte ignoble

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Mort dans l'indifférence


Luc Plancke, 53 ans, est le SDF le plus connu de Molenbeek. "Il ne faisait pas la manche, il cherchait juste un endroit pour dormir", nous explique Véronique, sa filleule. "Il est mort dans l'indifférence la plus totale. Pourtant, nous avons tout fait pour le sortir de là. Mais la commune n'a rien voulu entendre". Luc a été pris dans une spirale infernale. Son corps sans vie a été retrouvé, lundi, sur un banc. Son banc.

Luc Plancke a travaillé pendant près de 25 ans chez Renova Bulex. "Pris de crise d'épilepsie à répétition, il a dû arrêter de travailler. La machine s'est détraquée. Il a tout fait pour être régularisé par la mutuelle puisqu'il était malade. La mutuelle a refusé." Luc qui avait cotisé toute sa vie s'est vu refuser de l'aide lorsqu'il en avait besoin...

Et le chômage ? "Hélas, il ne rentrait pas dans le moule du chômeur qui savait aller pointer tous les jours, comme le voulait la règle à l'époque. Sa maladie l'en empêchait".

Sans travail, sans revenu, ne pouvant bénéficier ni du chômage, ni de la mutuelle, Luc s'est retrouvé rapidement à la rue. "Il a été hébergé un temps par sa famille, mais il avait sa fierté."

Voyant Luc, si combattant, dépérir, le mari de Véronique a tout fait pour l'aider. "Je suis allé à la commune, j'ai vu les responsables qui pouvaient l'aider. Il y avait toujours des promesses, mais aucune décision". Et Luc est resté à la rue. Des années. Il était facile à reconnaître. Il se trouvait près du commissariat, à quelques pas de la sortie du métro Comte de Flandre.

"Une spirale... sans adresse, il ne pouvait pas avoir de subsides, pas de mutuelle et donc pas de médicaments pour sa maladie". Lorsqu'il faisait des crises d'épilepsie, au moins une fois par semaine, il était transporté à l'hôpital. "Demandez à St-Pierre, ils doivent bien le connaître là". Il y était soigné mais... "Ensuite, il était remis dehors. Les soins étaient gratuits mais les médicaments à la pharmacie pas évidemment". Un cercle infernal.

"Ne sachant vraiment plus quoi faire, j'en ai parlé à mon médecin traitant. Vous savez ce qu'il m'a dit... que je devais contacter Médecins sans Frontières !" Un comble pour un homme qui a travaillé toute sa vie.

Ne demandant jamais un sou, attendant simplement que les jours passent, Luc avait réussi à attirer la sympathie des riverains, des passants et même des policiers qui l'hébergeaient volontiers. Une main tendue par des anonymes, dommage que les autorités n'aient pas fait de même !

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Sarkozy charge le téléchargement


Dans le domaine de la culture non plus, Nicolas Sarkozy n’aime pas les « voyous ». « Si je suis élu président, a-t-il promis mercredi soir à Paris devant un parterre de personnalités pas très people, il n’y aura pas de licence globale en France. » Comprendre : pas de consommation de musique sur Internet au forfait, comme le prônent un certain nombre d’acteurs du réseau. « Je n’accepterai pas le vol organisé sous prétexte de jeunisme, je me battrai pour le respect du droit d’auteur », a lancé le candidat. Applaudissements des quelques centaines de personnes réunies à la discothèque le Show Case, parmi lesquelles les réalisateurs Elie Chouraqui et Danièle Thomson, Renaud Donnedieu de Vabres, ministre de la Culture candidat à sa propre succession, ou encore l’écrivain Jean d’Ormesson.

Puis cette autre promesse, toujours musicale : « Il faut pour l’industrie du disque un vrai plan de sauvetage, comme ont pu en bénéficier hier l’industrie de la sidérurgie ou celle du textile. » Applaudissements particuliers de Pascal Nègre, patron d’Universal Music France. Il y avait aussi Dominique Farrugia, ex-Nul, et la dramaturge Yasmina Reza, qui prépare un livre sur Sarkozy.

Pour le reste, le candidat UMP a égrené ses « cinq priorités pour la politique culturelle », assez générales : diversité culturelle, valorisation du patrimoine, enseignement artistique, arts et culture dans les quartiers, développement du numérique. Nicolas Sarkozy n’a pas voulu ajouter d’huile sur le feu de l’intermittence : « Je mesure pleinement le rôle joué par les intermittents du spectacle, sans lesquels il n’y aurait pas de spectacle vivant, pas de création cinématographique ou audiovisuelle », a-t-il affirmé. Un nouveau protocole d’accord sur l’assurance-chômage est entré en application il y a quelques jours. « Je pense qu’il faut le laisser vivre et en faire le bilan dans quelques mois. »

L’avenir de la télévision publique a occupé une part importante du discours. « C’est un fait, l’audiovisuel public est actuellement sous-financé. Nous devons trouver des solutions, sans tabous », a lancé le candidat. La solution serait-elle plutôt côté publicité ? « C’est simple : soit on l’interdit, soit on l’autorise comme sur les chaînes privées, à armes égales. » Comme, par ailleurs, Nicolas Sarkozy n’est pas favorable à une augmentation de la redevance, la solution « sans tabous » semble trouvée. Il n’y aurait en tout cas pas de nouvelles privatisations de chaînes, mais une « rationalisation ».

Dans une phrase de Claude Lévi-Strauss —« L’identité n’est pas une pathologie। »­—, Nicolas Sarkozy a trouvé un argument supplémentaire en faveur de l’« identité nationale » et de son ministère ad hoc, ainsi qu’une raison du soutien des milieux culturels : « On ne peut pas invoquer la diversité culturelle si l’on ne croit pas à l’identité. » Enfin, c’est promis, on n’abandonnera pas l’art à la seule loi du marché, puisqu’« on passera d’une politique de gestion à une politique de civilisation », pas moins.

Mais a qui profite reellement le droit d'auteur pas a celui que l'on croit mais au major !! On paie une taxe pour acheter un pc on paie une taxe pour acheter un graveur dvd cd ca profite a l'etat cette taxe on paie une taxe sur les cd ca profite a l'etat aussi une tv pareil (c'est meme pire car pour un pc ou une tv on doit en plus payer le droit de regarder et utiliser (redevance) ) Mais attention pas le droit de s'en servir bref faut payer pour un truc inutile

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Amiante : les manoeuvres des patrons pour réduire la facture


Maladie professionnelle . À l’exemple d’Arkema, des employeurs, condamnés pour faute inexcusable, tirent les ficelles juridiques pour ne pas indemniser les salariés.

Michel est embauché en 1971 chez Atofina (branche chimie de Total, aujourd’hui Arkema) à Pierre-Bénite, dans le Rhône, comme mécanicien d’entretien. Son travail consiste notamment à remplacer des joints en amiante usagés, fabriquer et remettre en état des pièces et cordons en amiante, ou encore à entretenir des tuyauteries calorifugées. Il effectue ces tâches sans protection particulière contre la fibre, dont les effets nocifs sont pourtant connus depuis 1945.

Lorsqu’il prend sa retraite, en 2002, ses poumons présentent des plaques pleurales caractéristiques de l’exposition à l’amiante. La caisse primaire d’assurance maladie (CPAM) de Lyon accepte de le prendre en charge au titre d’une maladie professionnelle. Le 30 novembre 2005, le tribunal des affaires de la Sécurité sociale (TASS) de Lyon condamne Arkema pour faute inexcusable à l’encontre de Michel et de onze de ses anciens collègues. À partir de là, si les choses avaient suivi normalement leur cours, la CPAM aurait versé à Michel et aux autres victimes une rente majorée. Elle aurait ensuite récupéré cette somme auprès d’Arkema, sous la forme d’une forte majoration de sa cotisation Accidents du travail— maladies professionnelles (AT-MP).

Sauf que dans cette affaire, si les victimes ont bien été indemnisées, c’est la CPAM qui va probablement payer la facture dans une dizaine de ces dossiers. Une transaction est en cours entre Arkema et la CPAM du Rhône, aux termes de laquelle la Sécu devrait assumer la responsabilité financière de la faute commise par l’industriel. Roger Tarrago, secrétaire du CHSCT d’Arkema Pierre-Bénite et représentant CGT au CE, s’indigne de « ce procédé qui identifie le coupable et l’exonère ».

Échapper à sa responsabilité

Dans cette affaire, Arkema a tiré des ficelles parfaitement légales pour ne pas payer. Des ficelles qu’il avait détaillées à ses chefs d’établissement dans une note interne diffusée en janvier 2005 (lire ci-contre). Et que le TASS avait admises dans son jugement de novembre 2005, où il rendait « inopposables » au groupe chimique les conséquences financières de la faute inexcusable : la société était bien coupable, mais la CPAM n’avait pas mené son instruction sur la maladie professionnelle dans les règles, empêchant Arkema de se défendre correctement. Le groupe n’avait donc pas à payer. La cour d’appel de Lyon avait renversé cette décision et autorisé la CPAM à se rembourser dans les poches d’Arkema, mais cet arrêt avait toutes les chances d’être retoqué en cassation.

« C’est une stratégie développée par les employeurs pour échapper aux conséquences de décisions des TASS », déplore François Desriaux, président de l’Andeva (Association nationale de défense des victimes de l’amiante). Ils s’appuient sur une jurisprudence de la Cour de cassation sur le droit à un procès équitable, explique Michel Ledoux, avocat spécialisé dans la défense des victimes de l’amiante. « Quand dans la phase d’instruction d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, la CPAM n’a pas informé la société des éléments dont elle lui fait grief, la société peut saisir le TASS pour faire juger que la décision lui est inopposable. Et intellectuellement, c’est logique : si l’entreprise paie, il est normal qu’elle puisse donner son point de vue. » Même s’il s’agit clairement d’une stratégie élaborée pour ne pas payer, face aux victoires obtenues en justice par les victimes. Les sociétés invoquent des erreurs de procédure des CPAM, prétendent qu’ils n’ont pas été informés de la clôture de la procédure, ou s’appuient sur le fait que la Caisse n’est pas capable de prouver qu’elle a envoyé un document. Depuis quelques années, la caisse nationale d’assurance maladie est avertie de ces pratiques et demande aux CPAM d’être beaucoup plus vigilantes. Les affaires sont mieux instruites, l’usage de la lettre en recommandé est plus systématique.

Les coupables

doivent payer

« Compte tenu de la jurisprudence très exigeante sur l’amiante, les entreprises poursuivies pour faute inexcusable sont condamnées quasi systématiquement », poursuit l’avocat. « Nous les avons mises dans le coin du ring, elles n’ont pas d’autre solution pour se défendre que d’invoquer l’inopposabilité. » Et de mutualiser les conséquences de leurs actes, en faisant payer la collectivité des employeurs qui financent la branche AT-MP. « Les entreprises qui n’y sont pour rien paient pour ceux qui ont fait n’importe quoi, cela fausse le lien entre prévention et financement, qui est le mécanisme fondamental qui régit le risque AT-MP depuis 1946. »

« La reconnaissance de la faute inexcusable de l’employeur est importante pour les victimes : elle augmente l’indemnisation de la victime, le responsable est sanctionné, et le salarié sait sans conteste qu’il a été contaminé au travail et pas en changeant ses plaquettes de frein ou en faisant griller son pain », note Roger Tarrago. « C’est pourquoi nous n’admettons pas que les coupables soient exonérés. D’autant que cet argent dépensé par la CPAM aurait pu servir à la prévention. » En dépit de la jurisprudence, le syndicaliste reproche à la CPAM du Rhône d’avoir choisi la transaction plutôt que d’aller en Cassation. « Ils se sont comportés en techniciens, alors que nous sommes face aux victimes ou à leurs ayants droits, c’est nous qui nous rendons au cimetière. »

À Pierre Bénite, une cinquantaine de salariés et anciens salariés d’Arkema ont été reconnus victimes de maladies professionnelles liées à l’amiante, indique André Tarrago. « Et une douzaine de collègues en sont décédés. » Malgré cette hécatombe, ni cette usine ni le site Arkema de Jarrie, dans l’Isère, « où des salariés brassaient la fibre à la pelle », n’ont fait l’objet d’un classement « amiante », qui aurait permis à leurs salariés, du fait de leur espérance de vie réduite, de partir à la retraite à partir de cinquante ans.

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vendredi 20 avril 2007

Un décret risquant de limiter les libertés sur la Toile


La publication d'un décret d'application de la loi pour la confiance dans l'économie numérique (LCEN) pourrait, dans les prochains jours, venir préciser les obligations des acteurs de l'Internet en matière de rétention des données. La version de travail, que Le Monde a pu consulter, fédère contre elle les associations de défense des libertés et les industriels du secteur (fournisseurs d'accès et hébergeurs de contenus numériques).


Les prestataires techniques devront notamment conserver pendant un an les données permettant "l'identification de quiconque a contribué à la création (d'un) contenu". Le projet de texte va en réalité plus loin, dénoncent les associations de défense des libertés. Selon l'association Iris, il "prévoit la conservation de données qui vont bien au-delà de cet objectif, comme par exemple le mot de passe fourni lors de la souscription d'un contrat d'abonnement ou lors de la création d'un compte". De même, les données relatives au paiement (type de paiement, montant, date et heure de la transaction) d'un service devront être conservées un an par les prestataires techniques.

En l'état, le texte semble trop vague aux acteurs économiques du secteur, qui redoutent d'avoir à conserver l'intégralité des modifications apportées à un contenu. "Nous souhaitons une clarification sur la nature des données que les opérateurs devront conserver, au risque d'engager leur propre responsabilité sur le plan pénal, en cas de décision judiciaire concluant à la violation du principe du droit à la vie privée, dit Dahlia Kownator, déléguée générale de l'Association française des fournisseurs d'accès et de services Internet (AFA-France). Vu l'accumulation des textes réglementaires sur cette question, tant au niveau national que communautaire, en particulier s'agissant des fournisseurs d'accès, une harmonisation entre tous ces textes est absolument nécessaire, à commencer par l'emploi d'une terminologie commune."

"UN MOYEN SCÉLÉRAT"

Autre point de discorde, la prise en charge des coûts engendrés par la rétention de ces données. "Pour l'heure, l'Etat propose une indemnisation forfaitaire, ce qui ne correspond malheureusement pas, et de très loin, à la réalité des frais qui devront être engagés", ajoute Mme Kownator.

Le décret encadre également les conditions de transmission de ces données aux services de police et de gendarmerie, de même que les conditions de leur conservation par ces services. "Les données fournies (...) sont enregistrées et conservées pendant une durée maximale de trois ans", dans des fichiers "mis en oeuvre par les ministères de l'intérieur et de la défense". L'association Iris rappelle que ces données peuvent être demandées dans le cadre "d'enquêtes administratives et non judiciaires" - c'est-à-dire menées hors du contrôle d'un magistrat. "Ce projet de décret constitue en réalité un moyen scélérat d'étendre la durée de rétention de données au-delà de ce que permettent les législations française et européenne, déjà bien trop étendues", ajoute l'association.

Interrogés jeudi 19 avril, les services de la Commission nationale de l'informatique et des libertés (CNIL) disaient ne pas avoir encore été formellement saisis pour avis.

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mercredi 18 avril 2007

Salaires des patrons: opposé à toute loi, le Medef en appelle à l'autodiscipline


La présidente du Medef Laurence Parisot, rétive à toute loi encadrant la rémunération des dirigeants de sociétés, a de nouveau lancé mardi un 'appel solennel' aux entreprises à respecter 'à la lettre' les recommandations de l'organisation patronale en la matière.

Après la révélation des indemnités versées à Noël Forgeard après son départ d'EADS, les trois principaux candidats à la présidentielle, Nicolas Sarkozy (UMP), Ségolène Royal (PS) et François Bayrou (UDF) ont prôné la semaine dernière la réglementation de ces 'parachutes dorés', et pour certains celle des salaires des grands patrons.

Tout en disant comprendre 'la tentation' de légiférer pour limiter les abus, la présidente du Medef a estimé, lors de sa conférence de presse mensuelle, 'que ce n'est pas si simple que cela' et qu'il 'faut avoir le courage de se demander ce qui se passe si on légifère'.

Laurence Parisot a notamment cité l'exemple des Etats-Unis qui ont un temps plafonné les salaires des dirigeants d'entreprises mais où cette loi a été contournée par le 'développement faramineux' des attributions de stocks-options ou d'autres avantages.

'Si nous sommes le seul pays à instaurer une loi les sièges sociaux vont partir, les meilleurs talents ne vont pas rester en France', a-t-elle encore argumenté.

Et 'pourquoi pas une législation sur les rémunérations des acteurs de cinéma ou dans le monde sportif ?', s'est-elle aussi interrogée.

Préférant la 'régulation' à la réglementation, la présidente du Medef a réitéré son 'appel solennel' aux conseils d'administration et aux comités de rémunération des entreprises cotées, en leur demandant 'de respecter à la lettre et dans l'esprit les recommandations édictées par le Medef et l'Association française des entreprises privées (Afep) en janvier 2007'.

'Nous demandons qu'ils les mettent en oeuvre si ce n'est pas encore le cas', a-t-elle insisté, jugeant ces recommandations 'suffisantes, si elles sont appliquées'.

En particulier, 'les comités de rémunération ne doivent comporter aucun dirigeant mandataire social et doivent être composés majoritairement d'administrateurs indépendants', ce qui n'est pas le cas d'EADS, a-t-elle noté.

Et elle a rappelé le principe de 'mesure' dans la détermination de la rémunération d'un dirigeant, qui doit prendre en compte 'l'intérêt général de l'entreprise, les pratiques du marché et les performances des dirigeants' mais aussi 'tenir compte, dans la mesure du possible, des réactions des autres parties prenantes de l'entreprise et de l'opinion en général'.

c'est pas les politiques qui dirigent notre pays c'est le medef !! A quand un president qui aura l'audace de s'opposer a eux et qui ecoutera un peu plus les syndic de salarie ?

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lundi 16 avril 2007

À Lille, une fillette de cinq ans tuée par un chauffard de seize ans


Dimanche à Lille, vers 15 h 30, un accident a coûté la vie à Joëlle, une fillette âgée de cinq ans et demi. Elle a été renversée par une voiture dont le conducteur, mineur, n’est pas titulaire du permis de conduire.
Les faits se sont produits dans le quartier du Faubourg de Béthune, à Lille. Selon les premiers éléments de l’enquête de police, la fillette se trouvait au pied de l’immeuble où elle vivait, dans une contre-allée du boulevard de Metz. Elle aurait tenté de se rendre à l’aire de jeux du square Toulouse-Lautrec situé en face du bâtiment. Lorsqu’elle a traversé la chaussée, elle a été renversée par une Audi S3. Le véhicule aurait ensuite terminé sa course contre une automobile en stationnement.

Pas d’assurance
Rapidement, les sapeurs-pompiers et le SAMU sont intervenus. Ils ont découvert la victime inconsciente, coincée sous l’Audi. Elle a été transportée dans un état très grave au CHR de Lille, où elle est décédée quelques heures plus tard des suites de ses blessures. Le conducteur de l’Audi est un Lillois de seize ans habitant le quartier. Vu son âge, il circulait sans permis de conduire. Son véhicule n’était pas assuré. Aussitôt après l’accident, il n’a pas tenté de fuir et aurait alerté les secours. Avec trois autres personnes, il aurait récemment acheté l’Audi d’occasion. Le Lillois a été interpellé et ramené au commissariat central de Lille dès dimanche après-midi.
Sa garde à vue, pour homicide involontaire, a été prolongée hier. Lors de ses auditions, il aurait expliqué aux enquêteurs qu’il roulait doucement et qu’il n’aurait pas vu la fillette traverser. Son test d’alcoolémie s’est révélé négatif. Hormis pour des faits de rébellion, il n’était pas connu des services de police. Les circonstances exactes du drame sont pour l’instant floues. Les investigations ont été confiées à la brigade des accidents du commissariat de Lille, qui a mené hier de nombreuses auditions et une enquête de voisinage afin de mieux comprendre ce qui s’est passé.

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Guantanamo


Le père d'un Pakistanais détenu à Guantanamo a affirmé que son fils, Majid Khan, a été torturé par des Américains durant son interrogatoire après sa capture au Pakistan, ont affirmé lundi ses avocats.
Un tribunal militaire d'exception a examiné ce week-end au cours d'une audience à huis clos sur la base américaine de Guantanamo (Cuba) le cas de ce Pakistanais qui résidait à Baltimore (Maryland, est). Cette audience visait à examiner son statut d'"ennemi combattant", a précisé un porte-parole du Pentagone.

Selon le ministère de la Défense, Majid Khan aurait été recruté par le "cerveau" du 11-Septembre Khaled Cheikh Mohammed, pour préparer d'autres attentats aux Etats-Unis.

Selon le Centre pour les droits constitutionnels (CCR), un groupe de défense des prisonniers de Guantanamo, le père du prisonnier, Ali Khan a remis au tribunal une déclaration écrite décrivant dans le détail les tortures dont son fils aurait été la victime. Majid Khan aurait été battu, frappé au visage, privé de sommeil. Quand il n'était pas interrogé, le prisonnier était placé dans une cellule sans lumière, trop petite pour qu'il puisse s'allonger ou s'asseoir sans avoir les jambes repliées.

Ces tortures ont cessé après que Majid Khan a accepté de signer un texte qu'il n'a pas eu le droit de lire.

Dans un rapport publié en mars, Amnesty International affirmait que Majid Khan, âgé de 26 ans et père d'un enfant, faisait partie, jusqu'à son transfert à Guantanamo en septembre 2006, des 14 personnes détenues dans un lieu secret sous le contrôle de la CIA.

Ayant émigré aux Etats-Unis avec sa famille en 1996, il a vécu et travaillé à Baltimore et a obtenu le droit d'asile aux Etats-Unis en 1998. En février 2002, Majid Khan est retourné au Pakistan avec son frère pour se marier. En mars 2002, après son mariage, il est revenu à Baltimore où il a séjourné jusqu'à son retour au Pakistan plus tard dans l'année.

Dans la nuit du 5 mars 2003, des responsables des services de sécurité pakistanais ont fait irruption au domicile de son frère à Karachi et ont arrêté Majid Khan, son frère Muhammad Khan, sa belle-soeur et leur bébé. Ils les ont attachés et leur ont bandé les yeux avant de les emmener dans un endroit inconnu, a affirmé Amnesty.

La belle-soeur de Majid Khan et son enfant ont été libérés une semaine plus tard et son frère au bout d'un mois environ. Les responsables pakistanais ont refusé d'indiquer à la famille de Majid Khan où il était détenu et les raisons de sa détention. Les proches de Majid Khan aux Etats-Unis n'ont pas pu savoir eux non plus où il se trouvait et s'il était encore vivant, jusqu'à l'annonce de son transfert à Guantanamo.

Dans une lettre envoyée à son épouse depuis Guantanamo, il lui aurait dit, selon Amnesty, de ne pas trop compter sur son retour. L'armée américaine a censuré en grande partie cette lettre, mais Majid Khan aurait écrit qu'il était maintenu à l'isolement, qu'il était autorisé à sortir de sa cellule uniquement une heure par jour et qu'il pouvait parler occasionnellement à d'autres détenus à travers les cloisons de sa cellule.

Selon le président George W. Bush, Majid Khan et les 13 autres détenus transférés à Guantanamo en septembre 2006 sont "des hommes dangereux qui ont une connaissance sans équivalent des réseaux terroristes et de leurs projets de nouvelles attaques".

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Listes des principales fusillades meurtrières dans des universités américaines


Voici, par ordre de gravité, la liste des principales fusillades meurtrières dans des établissements universitaires américains depuis 1966:

- 16 avril 2007: un homme tue 32 personnes dans un dortoir et une salle de classe de l'université Virginia Tech à Blacksburg (Virginie). Il se suicide ensuite

- 1er août 1966: du haut du beffroi de l'Université du Texas à Austin, Charles Whitman abat 16 personnes avec une carabine et en blesse 31 autres

- 12 juillet 1976: Edward Chalres Allaway, un gardien de la bibliothèque de l'Université de l'Etat de Californie à Fullerton, abat sept de ses collègues et en blesse deux autres. Atteint d'une condition mentale, Allaway était persuadé que ses victimes étaient impliqués dans l'industrie pronographique et qu'ils forceaient sa femme, dont il était séparé, a jouer dans leurs films. Le tireur a été condamné pour les sept meurtres et admis dans un centre pour malades mentaux en Californie.

- 1er novembre 1991: Gang Lu, un étudiant chinois en physique de 28 ans, ouvre le feu sur le campus de l'Université de l'Iowa à Iowa City, tuant cinq employés, blessant quatre personnes, avant de se suicider

- 4 mai 1970: quatre étudiants sont tués et neuf blessés par la Garde nationale lors d'une manifestation contre la guerre au Vietnam sur le campus de l'Université d'Etat de Kent dans l'Ohio

- 28 octobre 2002: un étudiant infirmier de l'Université de l'Arizona à Tucson abat trois enseignants, avant de se suicider

- 2 septembre 2006: Douglas Pennington, 49 ans, tue ses deux fils sur le campus de l'Université de Shepherd à Shepherdstown (Virginie-Occidentale), avant de se suicider

- 16 janvier 2002: Peter Odighizuwa, un étudiant nigérian de 42 ans, récemment exclu de la faculté de droit Appalachian à Grundy (Virgine), abat le doyen, un professeur et un étudiant. Il blesse aussi trois étudiantes avant d'être maîtrisé

- 15 août 1996: Frederick Davidson, un élève ingénieur de 36 ans de l'Université d'Etat de San Diego (Californie), soutient sa thèse quand il dégaine soudainement une arme de poing et abat trois professeurs.

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dimanche 15 avril 2007

Un projet de décret pour surveiller le web


La loi pour la confiance dans l'économie numérique n'a pas fini de faire parler d'elle. Un projet de décret, dont le JDN a eu la copie, précise les conditions de conservation des logs de connexion et de diffusion que devront bientôt stocker FAI, hébergeurs et éditeurs de sites.

FAI, hébergeurs et éditeurs de site ou auteurs d'un blog ouverts aux contributions des internautes devront donc bientôt stocker une multitude d'informations concernant les internautes. Adresses IP, informations bancaires et civiles, mais aussi pseudos utilisés sur les forums, mots de passe et questions secrètes devront être collectées et laissées à disposition des juges et de l'Etat.

Surtout, les hébergeurs, éditeurs de site et blogueurs pourraient être obligés de conserver la trace de chaque version de contenus créés et modifiés par les internautes. Une mesure dont la faisabilité technique reste sujette à caution, et dont le coût fait grincer les dents des entreprises concernées.

Le texte rédigé par le gouvernement est déjà passé une première fois devant le Conseil d'Etat. Son adoption définitive devrait avoir lieu dans les six mois après que la Cnil et l'Arcep aient rendu un avis consultatif, à moins que le prochain gouvernement ne décide de le faire voter par le Conseil d'Etat durant les vacances d'été.

Autant dire que ceux qui ont pondu cette "chose" n'ont aucune idée du fonctionnement d'Internet, et encore moins, de la masse d'information à stocker...

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vendredi 13 avril 2007

Arnaques dans l'intérim


En mars 2006, le syndicat CFTC du travail temporaire a porté plainte pour "escroquerie et vol". Près de 45 000 personnes employées par le réseau des agences Crit, l'un des leaders du marché français de l'intérim, pourraient avoir été privées de leurs indemnités de précarité, voire du paiement d'une partie de leurs congés



De lourds soupçons d'escroquerie pèsent sur le monde de l'intérim: près de 45 000 personnes employées pour de courtes périodes par Crit, l'un des leaders du marché français, pourraient avoir été privées de leurs indemnités de précarité, voire du paiement d'une partie de leurs congés.

Le pot aux roses a été découvert par le syndicat CFTC du travail temporaire qui, représenté par Me Bruno de Prémare, a porté plainte pour "escroquerie et vol" en mars 2006. Les premiers soupçons sont nés à l'agence de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Mais, très vite, l'enquête de la police judiciaire parisienne a révélé des dysfonctionnements répandus au sein du réseau, fort d'environ 350 agences.

Un logiciel informatique de gestion des fiches de paie, baptisé Agathe, se trouve en effet au cœur de l'affaire: selon des sources concordantes, deux codes permettaient de ne pas faire apparaître les indemnités de précarité, soit au moins 10% du salaire brut. Il semble que ces pratiques aient touché bon nombre de personnels non qualifiés au cours des trois années écoulées.

Le 26 mars dernier, l'enquête a connu une avancée spectaculaire. Plusieurs perquisitions et gardes à vue se sont déroulées au siège de Crit, ainsi que dans des agences du Val-de-Marne et de Seine-et-Marne. La juge Sophie Clément devra désormais établir les niveaux de responsabilité au sein de l'entreprise.

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Ouvrez la bouche, vous êtes fichés

Au départ, il ne s’agissait que de ficher les délinquants sexuels. A l’arrivée, l’auteur du plus petit larcin peut avoir sa fiche ADN. Résultat : on vous suit “à la trace”. La moindre goutte de sperme ou de salive, le cheveu le plus fin ou le morceau d’ongle le plus ridicule contient de l’ADN. Vu que cette molécule supporte les informations génétiques de chaque individu, il suffit de faire le rapprochement entre une trace laissée sur le lieu du crime et le profil génétique d’une personne pour confondre un suspect. Encore faut-il avoir enregistré au préalable l’ADN de suffisamment de monde.

C’est aux forces de l’ordre qu’il revient d’effectuer ce “prélèvement biologique”. Grâce à un petit batônnet introduit dans la bouche, ils prélèvent une trace d’ADN qu’ils envoient au Laboratoire de la police scientifique française, implantée à Ecully. Les policiers scientifiques réalisent alors le génotypage de l’individu avant de le transmettre au bureau d’à côté, au Service central d’identité judiciaire (SCIJ) pour qu’il conserve, quarante ans durant, l’empreinte génétique. Depuis juin 2006, le Laboratoire d’Ecully est en pleine capacité et traite jusqu’à 125 000 traces par an. En six ans de fonctionnement, le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG) comporte déjà 365 000 individus dans sa base de données.

L’objectif est d’atteindre plusieurs millions de fiches. Une croissance exponentielle permise par les lois de sécurité quotidienne du gouvernement Jospin (2001) et dernièrement par Perben II (2004) qui autorisent désormais un prélèvement biologique sur quasiment toutes les personnes condamnées ou mises en cause pour un crime et un délit.

C’est ainsi qu’une Lyonnaise de 28 ans, Valérie*, a dû subir ce prélèvement, un an après avoir été condamnée à 400 euros d’amende pour le vol d’une robe au Printemps. Cette peine dérisoire la fait donc entrer dans le fichier sensé combattre les violeurs, criminels et autres dangereux gangsters. Philippe Mallet, le responsable du FNAEG, défend l’élargissement de cette base de données informatiques : “il faut se donner les moyens de lutter contre la délinquance. Plus on a d’individus fichés dans la base, plus on a de chance de résoudre des affaires”. Il prend pour exemple le meutre et le viol d’une fille à Montpellier, resté sans solution il y a vingt ans. “Suite à une banale bagarre, la police a pratiqué des prélèvement ADN sur plusieurs individus. Un de ces profils génétiques a pu être rapproché d’une trace ADN prélevée vingt ans plus tôt sur les lieux du crime”.

Une société à la Big Brother ? Faut-il alors ficher l’ensemble de la population pour augmenter le taux de résolution des enquêtes de police ? Récemment, Christian Estrosi, ministre délégué à l’Aménagement du territoire et surtout représentant de Nicolas Sarkozy pour la coopération policière au sein de l’Union européenne, a déclaré que “les citoyens seraient mieux protégés si leurs données ADN étaient recueillies dès leur naissance” (Le Monde du 16 janvier 2007).

Alors que les possibilités de fichage ont été élargies sans un véritable débat public, c’est un vrai choix de société qui se pose : la lutte contre l’insécurité doit-elle prendre le pas sur les libertés individuelles ? “Ce fichage est totalement disproportionné, dénonce le Syndicat de la magistrature. La volonté de répertorier le plus grand nombre de personnes est déjà une grave atteinte aux libertés et à l’intégrité des personnes. Que se passerait-il sous une société totalitaire ?” Au contraire, Alex Türc, président de la CNIL**, se voudrait rassurant : “ce fichier soulève des interrogations car il touche à la génétique. Mais il faut préciser que ce sont des empreintes non codantes (qui ne permettent pas le clonage) qui sont conservées. Par ailleurs je peux vous assurer qu’aucune personne ne nous a saisis pour se plaindre d’être dans cette base informatique”.

Mais il ajoute que la CNIL n’a pas les moyens d’assurer le contrôle d’un tel fichier... Depuis un an, les actes de résistance se multiplient : des faucheurs d’OGM, des militants anti-CPE ou d’autres activistes ont refusé de se faire prélever leur ADN***. Selon la loi, ils risquaient un an de prison ferme. Jusque là, les juges ont été relativement cléments, en ne condamnant qu’à 500 euros d’amende. Dernier refus en date, celui de Camille arrêtée dans le Beaujolais. La Gendarmerie la soupçonnait d’avoir fumé du cannabis et voulait la ficher. Elle ne s’est pas soumise à ce prélèvement biologique. Dans sa déposition, elle a expliqué qu’elle ne veut “pas cautionner une société qui ressemble à celle que décrit George Orwell dans 1984”. Son procès aura lieu le 21 mars à Mâcon.

*Le prénom a été changé **Commission nationale de l’informatique et des libertés, en charge du contrôle des fichiers. **Ils s’organisent autour d’un site http://refusadn.free.fr

Le procès de Camille : les dérives d’un fichier

Le 21 mars sera jugé Camille qui a refusé de se soumettre à un prélèvement biologique. La scène s’est déroulée dans le Beaujolais, au début du mois de septembre 2006. Lors d’un banal contrôle routier, les gendarmes découvrent dans la voiture de l’ami de Camille, une pipe à eau. Rien ne se passe le soir-même. On lui demande seulement de se présenter à la gendarmerie. Le lendemain, on lui précise qu’on la soupçonne d’avoir usé de stupéfiant et que, du coup, on va procéder au prélèvement de son ADN. Elle refuse.

Poursuivie par le parquet, elle devra répondre de ce refus. Son avocat, le Lyonnais Jacques Debray explique : “pour moi, cette affaire montre la dérive d’un fichier. Les gendarmes n’ont même pas pris soin de vérifier si le délit qu’on lui reproche est dans la liste qui ouvre une possibilité de fichage. Or la simple consommation n’est pas un délit qui le permet !” Et de conclure, “on est en train de constituer un fichier de population alors qu’on n’a pas de garantie suffisante sur son utilisation”. Camille encourt 15 000 euros d’amende et 1 an de prison ferme.

Camille été relaxé, une décision qui fera jurispridence ?

Refus ADN

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jeudi 12 avril 2007

135 coups de couteau à son bébé


Une adolescente américaine de 17 ans, présentée comme étant en "état de panique", a poignardé à 135 reprises le bébé auquel elle venait de donner naissance avant de jeter le corps dans une poubelle devant la maison familiale à Stillwater, dans la banlieue de Saint-Paul (Minnesota, centre-nord des Etats-Unis).

La lycéenne a déclaré à la police qu'elle avait accouché à même le sol de la buanderie de sa maison tôt lundi, selon l'inculpation.

Nicole Beecroft a expliqué qu'elle a vu le bébé bouger un doigt et qu'elle a commencé à le poignarder en "état de panique".

L'autopsie a déterminé que le bébé est né en vie mais s'est vidé de son sang après avoir subi 135 blessures à la poitrine dues à un objet tranchant.

"Elle a tué ce bébé et sa vie va en être changée à jamais", a souligné jeudi Doug Johnson, le procureur du comté de Washington.

Nicole Beecroft a été inculpée d'homicide volontaire et a été écrouée dans un centre de détention juvénile. Elle doit comparaître devant le tribunal pour la première fois vendredi.

La mère de Nicole a déclaré à la police qu'elle ignorait que sa fille en surcharge pondérale était enceinte.

Mardi, un informateur anonyme avait appelé la police pour dire qu'une caissière d'une épicerie de Saint-Paul avait donné naissance à un bébé mort-né et qu'elle l'avait jeté dans la poubelle familiale.

L'enquête a conduit les policiers jusqu'à la maison de Nicole Beecroft où ils ont retrouvé le corps du bébé dans un sac poubelle posé devant la maison। A l'intérieur du sac, les policiers ont également retrouvé un couteau à manche noir et des serviettes"।

mais merde c'est une malade c'est pas possible autrement !! l'avortement la pillule c'est pas fait pour les animaux elle pouvait aussi choisir de le faire adopter Mais le tuer a coup de couteau faut etre sacrement derange

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Une justice en panne,constat accablant


Et d'autant plus frappant qu'il est établi par la Chancellerie elle-même। Un document publié ce jeudi par Le Figaro fait en effet état des graves défaillances de la justice en France, tribunaux par tribunaux। Lenteur des procédures, classements sans suite faute de moyens, sanctions inapplicables...

Le système judiciaire français est en piteux état. Ce n'est pas une information mais une confirmation en provenance de la place Vendôme qui pointe, à travers des "données locales" révélées par Le Figaro, de graves dysfonctionnements. Une étude qui porte sur l'année 2005 et qui souligne toutefois une amélioration par rapport à 2002 en ce qui concerne le délai moyen de traitement passé à 7,3 mois en première instance (contre neuf mois), et 14,2 mois en appel (contre 17).

Pour autant, pas de quoi se réjouir. Il apparaît ainsi que tous les Français ne sont pas égaux face à la justice, les différences dans le délai de traitement des affaires est parfois effarant. Par exemple, le justiciable qui habite à Colmar n'a pas intérêt à être pressé. Colmar détient en effet le record de la lenteur en première instance avec un délai de dix mois. En appel, c'est Nancy qui détient le record avec un délai de 22 mois. Nancy qui fait pourtant partie des bons élèves en première instance avec un délai de 5,7 mois, juste derrière Caen et Douai.

D'une manière générale, beaucoup de victimes peuvent être frustrées par le fonctionnement de la justice puisqu'il apparaît qu'est classée sans suite près d'une affaire pénale "poursuivable" sur quatre (22,1%). C'est à Lyon, Aix-en-Provence, Toulouse et Montpellier que les cours d'appel apparaissent les plus "laxistes" avec des taux de classement sans suite allant de 28,4% à 29,5%.

Des effectifs à peine supérieurs à ceux du XIXe siècle

Des classements sans suite officiellement imputés à la faiblesse du trouble et du préjudice ou en raison de recherches infructueuses. Mais les syndicats de magistrats sont plus sévères et pointent d'abord la faiblesse des moyens humains, notamment de greffiers, et financiers. "La France compte 7500 magistrats, à peine plus qu'au XIXe siècle quand l'Allemagne en recense 17000", souligne un avocat parisien dans Le Figaro...

Quant à l'activité correctionnelle, l'application des peines, elle est "virtuelle" selon l'Union syndicale de la magistrature d'après qui un tiers des dossiers correctionnels traités et jugés n'aboutit à aucune sanction réelle, car les jugements - amendes, prison - ne peuvent être appliqués faute de moyens.

Face à cette situation qui se dégrade, l'augmentation du budget alloué par l'Etat qui est un des plus faibles de l'Europe des 25 (6,271 milliards d'euros en 2007 soit 2,34% du budget de l'Etat) semble être autant une évidence qu'une urgence। Cela avait d'ailleurs été une des conclusions de la commission d'enquête sur l'affaire d'Outreau। Si Ségolène Royal et François Bayrou ont promis, s'ils sont élus, de doubler le budget -en dix ans pour le candidat UDF-, Nicolas Sarkozy n'a, lui, pas pris d'engagement en ce sens et se contente de vouloir revaloriser le statut des magistrats...

La situation est grave.

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Airbus : les patrons se goinfrent, les ouvriers trinquent

L'ex-patron d'EADS Noël Forgeard ne touchera pas une retraite-chapeau de 100.000 euros par mois en plus de ses 8,5 millions d'euros d'indemnités de départ, a assuré un de ses proches, "démentant catégoriquement" l'information publiée par Marianne jeudi 12 avril sur son site internet.
"Nous démentons formellement et catégoriquement le montant de retraite calculé par Marianne". "Noël Forgeard touchera une retraite complémentaire conforme aux règles contractuelles d'EADS, au titre de ses huit années passées chez Airbus puis chez EADS, mais qui n'a rien à voir avec les montants exorbitants avancés" par l'hebdomadaire", a souligné un membre de l'entourage, sans préciser le montant de cette retraite.

8,5 millions d'indemnités de départ

Lors de son départ, en 2006, l'ancien co-président exécutif d'EADS et ex-PDG d'Airbus a perçu quelque 8,5 millions d'euros, selon un document d'EADS, destiné aux actionnaires du groupe.


"En vertu des termes de son contrat de travail, Noël Forgeard a eu droit à six mois de préavis, représentant une somme de 1.223.317 euros (salaire brut et bonus), et des indemnités de départ de 4.893.268 euros, soit deux ans de salaire brut annuel", est-il écrit.
Ce à quoi il faut ajouter 2,4 millions d'euros au titre d'une prime de non-concurrence, car Noël Forgeard a droit, ajoute la maison-mère d'Airbus, à "une indemnité de non-concurrence de deux ans, qui représente un montant brut mensuel de 101.917 euros" (donc 2,44 millions sur vingt-quatre mois).

Délits d'initiés

En 2005, Noël Forgeard avait touché une rémunération brute de 2,33 millions d'euros, comprenant un salaire fixe annuel de 1,13 million d'euros et un bonus de 1,2 million.
L'ex-patron, qui a tenu les rênes de l'avionneur de 1998 à 2005, avait été évincé l'été dernier, dans un contexte de perturbations profondes liées au retard du très gros porteur A380.
Il est notamment mis en cause -avec le directeur stratégique du groupe Jean-Paul Gut, le patron de la division Espace François Auque et Fabrice Brégier, ex-président d'Eurocopter, désormais directeur général délégué d'Airbus- dans une affaire de "délits d'initiés, diffusion de fausses informations et recel sur le titre de la société". Cette affaire fait l'objet d'une enquête de l'Autorité des marchés financiers (AMF) et d'une instruction du parquet de Paris.
La vente d'actions Airbus à laquelle il avait procédé, quelques semaines avant l'annonce des retards de l'avion géant, et alors qu'il supervisait le développement de l'A380, a en effet été perçue comme suspecte. Il en a retiré une plus-value de 2,5 millions d'euros, mais a toujours clamé sa bonne foi, en niant avoir été au courant, au moment des faits, des difficultés rencontrées pour l'industrialisation de l'appareil.

Encore encore 297.000 stock-options

A en croire les informations rendues publiques par EADS, cet ancien dirigeant détient encore encore 297।000 stock-options exerçables en principe jusqu'à 2013, 2014 et 2015। L'hebdomadaire Marianne paru samedi croyait savoir qu'il en garderait le bénéfice, malgré son départ de l'entreprise।

suite

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Le gardien de prison écoulait de la "drogue du viol"


Un gardien de la prison des Baumettes de Marseille a été mis en examen et écroué la semaine dernière pour avoir écoulé, en dehors de la prison, plusieurs flacons de GHB, un produit également connu sous le nom de "drogue du viol". Les investigations à venir doivent notamment tenter de déterminer si le surveillant, âgé de 35 ans, a également pu dealer au sein de la prison, ce qu'il nie.

Déjà le mois dernier, les enquêteurs de la brigade des stupéfiants de la Sûreté départementale de Marseille avaient arrêté un cadre fréquentant les boîtes homosexuelles de la région qui utilisait régulièrement le GHB. Mis en examen et écroué, l'homme avait reconnu s'être fourni auprès du gardien de prison. Ce dernier a été mis en examen pour infraction à la législation sur les stupéfiants.

Le GHB, aux effets hallucinogènes, euphorisants et sédatifs, est prisé de certains clients de discothèques pour son utilisation festive। Le liquide peut également avoir des usages criminels lorsqu'une petite dose est versée subrepticement dans le verre d'une victime, provoquant un état semblable à l'ébriété, une désinhibition et une amnésie partielle, avec un délai d'action très court, d'où son surnom de "drogue du viol"। Un surdosage peut s'avérer mortel।

encore un bel exemple pour une personne representant un corps de metier ayant un rapport avec notre systeme judiciaire

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mercredi 11 avril 2007

Sébastien Nouchet suspendue à la décision de la cour d’appel


Il a fait la une de l’actualité, a ému la France entière et même le président de la République. A donné son nom à une loi contre l’homophobie.
Mais trois ans après son agression, brûlé vif dans son jardin de Noeux-les-Mines, Sébastien Nouchet est bien seul pour attendre, aujourd’hui, la décision de la cour d’appel de Douai. Bien seul mais déterminé à revenir sur le non-lieu prononcé par le tribunal de Béthune en septembre. Une attente qui n’en est que plus fébrile

Dans quel état d’esprit attendez-vous cette nouvelle décision judiciaire ?

« Je suis plutôt nerveux. Inquiet aussi et puis j’ai très peur que la décision ne soit pas la bonne. Ma vie a été gâchée, des gens m’ont fait mal et moi je vais rester comme ça. J’ai du mal à le vivre. » – Vous espérez une réhabilitation de la cour d’appel de Douai ?
« Ce serait une première étape pour que je puisse faire mon deuil. » – On vous a senti presque autant blessé par l’agression dont vous dites avoir été victime que par ce non-lieu… « Oui, c’est comme si on disait que j’ai menti. Une trahison de la part de la justice. On a tout mélangé et on s’est servi de choses très intimes : le viol dont j’ai été victime à neuf ans et des tentatives de suicide vingt ans plus tard. Un déballage public alors que je voulais que ça reste en famille. » – On a fait de vous l’emblème de la lutte antihomophobie, soutenu par des associations, et aujourd’hui on vous sent bien seul à 38 ans… « Je suis vachement seul. Toutes les associations m’ont tourné le dos. Elles se sont servies de moi pour se faire de la pub. Et les gens ont peur de moi. Pour eux, je suis moche (Sébastien Nouchet a été brûlé au troisième degré). Ça devient pénible. On me considère comme un monstre. J’attends la décision de la cour d’appel pour me faire opérer : dents, nez, oreilles, torse… J’attends des dommages et intérêts. » – Vous donnez l’impression de vivre dans la peur… « Oui, j’ai peur qu’on me fasse du mal. C’est pour ça que je ne veux pas dire où je vis. J’ai de nouveau été agressé. On a mis le feu à ma voiture et dans ma cage d’escalier. C’est louche. L’amour rend aveugle. J’ai compris certaines choses au sujet de mon ex-ami trop tard. Dans un enregistrement, par une agence de presse, d’une conversation avec mon ex, ce dernier a reconnu son implication dans mon agression. Cet élément nouveau a été versé au dossier à la cour d’appel de Douai. » – Ce ne serait donc pas une agression homophobe ?
« Pas seulement. Cela n’expliquerait pas tout. Une affaire familiale et un exécutant homophobe. » – Et si la cour d’appel confirme le non-lieu, que faites-vous ?
« Je continue la bataille. Plus que jamais. Je tiens le coup grâce à maman, mon avocat, Me Berton, et mes animaux. Ils m’apportent beaucoup, me forcent à sortir et sentent que je ne vais pas bien. »

Un courage une force de caractere !!! Le pire c'est quand on lit que les associations lui ont tourné le dos et qu'elles se sont servit de lui Le pire c'est que ce genre de pratique existent de plus en plus et ca m'ecoueure On monte une association pour defendre une cause des personne peu importe qu'elle soit connu qu'elle est un grand nombre d'adherent ou pas qui lache du fric Le but a la base c'est defendre une cause pas se faire un nom sur le dos des autres

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Retraités français imposés en Belgique


Coup de colère, hier, de Fabien Thiémé, vice-président du conseil général du Nord délégué aux personnes âgées.
Un accord sur le régime fiscal des travailleurs frontaliers est intervenu entre la France et la Belgique le 14 mars। Objectif : harmoniser l’ensemble et éviter les doubles impositions। « Qu’en est-il des personnes âgées françaises hébergées en Belgique, faute de solution d’hébergement en France ? », interroge Fabien Thiémé। Elles sont environ 1 500 dans le nord de la France et sont les « oubliées » de l’accord. D’autant que le fisc belge leur réclame désormais un impôt sur le revenu « C’est inadmissible ! » Selon Fabien Thiémé, le problème vient du manque de solutions d’hébergement. Le contexte politique aidant, le responsable est désigné : l’État. « Aujourd’hui, 532 places d’hébergement sont en attente, faute de crédits d’État. » L’élu communiste va même plus loin, en estimant que la question des personnes âgées et de la dépendance devrait « entièrement être du ressort de l’État ». Et de réclamer des accords entre pays. « C’est une compétence départementale aujourd’hui, mais ça ne pourra pas durer ! »

Inadmissible

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Nicolas Sarkozy aurait promis une amnistie "déguisée" à Chirac


Le Canard Enchaîné révèle, dans son édition du mercredi 11 avril, un accord que Nicolas Sarkozy et Jacques Chirac auraient passé il y a quelques semaines, qui devrait permettre au président sortant d'éviter toute poursuite judiciaire. D'après l'hebdomadaire satirique, le candidat de l'UMP s'y est officiellement engagé, s'il est élu à la présidence de la République, en échange du soutien de Jacques Chirac à sa candidature.
Concrètement, le nouveau projet de loi sur la lutte contre la délinquance, promis par Nicolas Sarkozy pour juillet s'il est élu, comportera un article qui imposera aux juges de clore leurs dossiers au plus tard une dizaine d'années après les faits, pour les simples délits. Le Canard Enchaîné cite un proche de Jacques Chirac, sous couvert d'anonymat: "Les dossiers trop anciens, encore à l'instruction, seront purement et simplement annulés. Le tout, au nom d'une bonne administration de la Justice…".

"Nettoyage approfondi"

Pour le président sortant, cette réforme reviendrait à annuler toute poursuite judiciaire à son encontre. Le Canard Enchaîné, qui parle de "nettoyage approfondi", rappelle les trois affaires dans lesquelles Jacques Chirac est -encore- impliqué: le dossier de l'emploi fictif d'une secrétaire de l'ex-RPR, les enquêtes sur des dizaines d'autres emplois fictifs de la Mairie de Paris et l'instruction de son collègue Jean-Marie d'Huy sur les fausses factures de l'imprimerie municipale Sempap.
D'anciens collaborateurs de Jacques Chirac, notamment Robert Pandraud et Michel Roussin, ainsi que Jean Tiberi, pourraient également bénéficier de cette disposition। Le Canard Enchaîné fait par ailleurs remarquer que cette nouvelle règle, "fixant à dix ans la durée maximale d'une instruction", va également "rendre caducs" des dossiers touchant directement Nicolas Sarkozy dans les Hauts-de-Seine: par exemple, l'affaire de son appartement sur l'île de Jatte।

S'il est élu, et que cela se fait, ce sera la confirmation qu'il est un menteur et un ripoux

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mardi 10 avril 2007

un handicapé à la recherche d'un logement adapté depuis six ans

Un habitant de Dieppe (Seine-Maritime), qui est cloué dans un fauteuil roulant depuis six ans et qui loue un appartement au septième étage d'un immeuble, demande à son bailleur un logement adapté depuis plus de six ans.

Thierry Stuki vit un vrai calvaire depuis qu'un accident en octobre 2000 le contraint à vivre en fauteuil roulant. Pour ce père de famille, la situation est d'autant plus intolérable que son bailleur n'a rien à lui proposer. "On me dit toujours qu'il n'y a rien de disponible, qu'il faut patienter. J'en ai marre, cela fait six ans que cela dure", a-t-il expliqué lundi à l'Associated Press.

Dans l'appartement qu'il loue depuis plus sept ans dans le quartier du Val-Druel, rien n'est adapté pour une personne à mobilité réduite. "Mon fauteuil ne peut pas passer la porte des toilettes, ni de la salle de bains. Alors c'est mon épouse qui me soulève et qui m'aide. Ce n'est pas une vie pour moi, ni pour elle".

Contacté par l'Associated Press, Habitat-76, le bailleur social de cet immeuble, n'a pas souhaité s'exprimer sur ce sujet. Son représentant a juste confirmé "que le dossier était en cours".

La situation devient de plus en plus préoccupante pour Thierry Stuki qui est souvent contraint à rester cloîtré chez lui car "l'unique ascenseur de cet immeuble tombe régulièrement en panne". "Une autre fois, j'étais sorti, en rentrant chez moi il était en panne. J'ai dû monter les marches sur les fesses à la force de mes bras. J'ai mis plusieurs jours à m'en remettre".

"Je veux simplement trouver un appartement au rez-de-chaussée ou un pavillon de plain-pied। Nous sommes en 2007, cela ne doit pas être compliqué de trouver cela!", s'insurge-t-il।

HEUREUSEMENT QUE C'EST LES ELECTIONS:SON APPEL RISQUE D'ETRE ENFIN ENTENDU

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Jungle des tarifs chez les médecins


Depuis janvier, l'assurance-maladie a mis en place une plate-forme de services téléphoniques pour que les assurés sociaux puissent mieux s'orienter dans le système de soins. Le numéro à composer est indiqué dans les courriers de remboursement adressés par la Sécurité sociale. Vendredi 6 avril, nous avons testé la plate-forme parisienne (0820-904-175).


Une opératrice nous demande notre numéro de Sécurité sociale et nous oriente vers le "service info-soins". A la question "je recherche un ophtalmologue en secteur 1 dans le 19e arrondissement", la conseillère délivre plusieurs adresses en assurant qu'il s'agit de médecins "qui se sont engagés à pratiquer les tarifs de la Sécurité sociale, soit 25 euros". Elle recommande néanmoins de "demander confirmation" lors de la prise de rendez-vous.

"AVEZ-VOUS LA CMU ?"

Premier appel chez l'un des ophtalmologues. La secrétaire médicale indique que le médecin peut nous recevoir à partir du 11 avril. "Quel est le prix de sa consultation ? demande-t-on. - Entre 35 et 42 euros. - Mais ce ne sont pas les tarifs de la Sécu ? - Ah, si, si, c'est le secteur 1. - Ce ne sont pas les prix que m'a indiqués l'assurance-maladie ! - De toute façon, si vous allez ailleurs, c'est 50 euros en secteur 2."

Deuxième appel chez un autre ophtalmologue : un rendez-vous est possible le 19 avril. "A quel tarif ? - Entre 28 et 32 euros pour une visite normale. - Ah bon ? - De toute façon, vous ne trouverez pas moins cher ailleurs."

Nouvel appel chez un troisième ophtalmologue. "Avez-vous déjà consulté chez nous ? - Non. - Avez-vous la couverture maladie universelle, la CMU ? - Non, pourquoi ? - Parce que le médecin n'en prend pas plus de quatre par jour. - Quel est le prix de sa consultation ? - Entre 28 et 32 euros, et je ne peux pas vous donner de rendez-vous avant la mi-mai."

Apparemment, les fiches de l'assurance-maladie n'ont pas mis à jour cette anarchie tarifaire। Mieux vaut, comme nous l'indiquait la conseillère, se faire confirmer les tarifs au téléphone... Quant aux discriminations vis-à-vis des personnes disposant de la CMU, elles perdurent।

un ophtalmo c'est un medecin !! peu importe la specification il a prete le serment d'hypocrate ! alors refuser les gens beneficiaire de cmu ou les soigner au compte goutte c'est aller contre ce serment

Comme si parce que les gens ont cette couverture ils n'avaient pas le droit d'etre malade

Quand au tarif a croire que c'est un vrai business et si on suit les conseil de la secu on va devoir maintenant faire le tour de tous les ophtalmo pour avoir le prix a quand le comparateur de prix sur le net ?

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Jugés pour le meurtre à coups de pierres de Ghofrane


Deux jeunes hommes de 20 ans et 19 ans sont jugés depuis ce mardi matin devant la cour d'assises des mineurs des Bouches-du-Rhône pour le meurtre de Ghofrane Haddaoui, 23 ans, sauvagement tuée à coups de pierres en octobre 2004 à Marseille। Un troisième garçon de 19 ans, également sur le banc des accusés, est poursuivi pour non-dénonciation de crime et comparaît libre। Les débats se déroulent à huis clos, les accusés étant mineurs au moment des faits। Deux avaient 17 ans et l'autre 16।La mort de Ghofrane avait soulevé un vif émoi dans la ville : en novembre 2004, une marche silencieuse avait été organisée à sa mémoire, à l'appel du mouvement "Ni putes ni soumises", lors de la Journée contre les violences faites aux femmes. Le corps de la jeune fille, la tête ensanglantée, avait été découvert le 19 octobre 2004 par des promeneurs dans un terrain vague, non loin d'un centre commercial dans les quartiers nord de Marseille. Les enquêteurs relevaient de nombreuses traces de sang sur le sol, ainsi que des dents de la victime arrachées sous la violence des coups portés à l'aide de grosses pierres.L'autopsie avait permis d'établir qu'une trentaine de coups sur la boîte crânienne avaient entraîné des lésions cérébrales et une hémorragie à l'origine de la mort, aux premières heures de la journée du 18 octobre. Ce même jour, le téléphone portable de la victime gardait la trace d'une communication passée avec la puce d'un autre téléphone, celle d'un garçon de 17 ans, connu du frère de Ghofrane qui le décrivait comme "violent et peu recommandable". Le jeune homme, interpellé le 8 novembre, avait reconnu au cours de sa garde à vue être l'auteur du meurtre. Le verdict est attendu vendredi.


Des jeunes écervelés, sans esprit!!!! comment ont ils pu faire une chose pareille, 16 ans , 17 ans.quelles sont les raisons?J'espère que la justice sera sans pitié

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dimanche 8 avril 2007

incomprehensible


Un bébé gravement malade, en couveuse, n'a pu embarquer mercredi à l'aéroport d'Orly pour La Réunion, son état ne permettant pas d'appliquer les procédures de sécurité classiques, selon des sources concordantes confirmant une information diffusée sur TF1.
L'ambulance du bébé âgé d'un mois s'est présentée au poste d'inspection filtrage sur le tarmac d'Orly 40 minutes avant le décollage (prévu à 21h00) pour procéder à l'embarquement, selon la gendarmerie des transports aériens (GTA). Le médecin ayant déclaré l'enfant "non palpable" en raison de son état de santé, la société de sûreté chargée de l'inspection s'est vue dans l'impossibilité d'ouvrir la couveuse.

Appelée sur place, la GTA a constaté qu'elle ne pouvait réaliser les contrôles prévus sur un enfant "non palpable" avant le décollage de l'avion et de ses 461 passagers. Il aurait notamment fallu emmener la couveuse dans un local "approprié", selon la GTA.

Le médecin est alors revenu sur sa déclaration et a accepté à 20H55, d'après la GTA, que le bébé soit déclaré palpable et que sa couveuse soit ouverte et inspectée selon une procédure plus légère.

Informé de la situation, le commandant de bord aurait alors refusé d'embarquer l'enfant compte tenu du retard, selon plusieurs sources aéroportuaires.

mesure de securite ok on peux comprendre mais la c'est de la paranoia c'est voir des terroristes partout

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mercredi 4 avril 2007

Un handicapé mental battu et affamé


Une Liégeoise de 37 ans et son compagnon de 49 ans ont été déférés mercredi au parquet de Liège après que le fils de la première, un handicapé mental de 22 ans présentant des signes de maltraitance, eut été recueilli dans un magasin de Chênée.

Le jeune homme, qui a l'âge mental d'un enfant de 6 ans, ne pèse que 47 kilos pour 1,80 m. Il a été surpris mardi matin au magasin Aldi de Chênée, où il venait de dérober une boisson.

Etonnés par sa maigreur, les témoins l'ont entendu leur déclarer qu'il était régulièrement privé de nourriture par le compagnon de sa mère lorsque cet homme lui reprochait de n'avoir pas bien entretenu l'appartement.
La police a constaté que le jeune homme portait des traces de coups et de sang au visage et qu'il avait le nez fracturé. Le compagnon de sa mère nie les maltraitances et est soutenu par sa compagne. Tous deux affirment que la victime "mange comme quatre" à la maison.

Le frère du jeune homme est en institution depuis 2005 à la suite de coups portés par ce même compagnon de sa mère.

Le gérant du magasin n'a pas porté plainte pour vol et a restauré le jeune homme, qui a également reçu plusieurs sandwichs à la police. La mère et son compagnon ont été mis à la disposition du juge d'instruction de Liège.

Tellement plus facile de s'en prendre a une personne vulnerable Comment peut elle preferer couvrir un compagnon plutot que de defendre son propre mome Qu'on les affame qu'on leur fasse subir a tous les deux la meme chose !!


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