dimanche 31 août 2008

VIETNAM: Multiplication des cas de mauvais traitements sur mineurs

Quand Tran Van De frappe ses petits-enfants, il dit qu’il le fait par amour. « Je sais que ça fait mal ; ça me fait mal à moi aussi », explique ce retraité de 68 ans, grand-père de quatre enfants. « Mais ça les aide à devenir de bons citoyens. C’est comme ça que j’ai appris quand j’étais enfant. Ce ne sont pas des maltraitances. J’aime mes petits-enfants. Comment pourrais-je les maltraiter ? ».

Dans bon nombre de pays, un parent qui frapperait son enfant ou le laisserait seul à la maison serait dénoncé aux autorités. Un travailleur social serait envoyé sur place pour enquêter. La police pourrait être mobilisée et une plainte pour mauvais traitements sur mineur pourrait même être déposée contre le parent.

Au Vietnam, un tel scénario ne pourrait pas se produire. Il n’existe pas dans ce pays de définition communément admise de la « maltraitance des enfants ». Il n’y a pas de travailleurs sociaux. Il n’y a pas de loi particulière contre les corrections physiques, selon Duong Tuyet Mien, professeur à l’université de droit d’Hanoi, ainsi que d’autres experts de ce domaine.

Au Vietnam, pour bien éduquer les enfants, il est traditionnellement d’usage de les discipliner en les frappant ou en les humiliant. Un bon enseignement passe également par cette pratique.

Il serait même irresponsable de ne pas avoir recours aux corrections physiques si un enfant ne se comporte pas correctement, selon des parents interrogés par IRIN et des responsables du ministère du Travail, des invalides et des affaires sociales (MTIA).

Rapport ministériel

La maltraitance des enfants n’en est pas moins un problème de plus en plus grave au Vietnam. Les enquêtes indiquent une multiplication du nombre de cas signalés.

Les statistiques communiquées par le MTIA le 22 août dans un rapport préliminaire publié uniquement en vietnamien montrent que la violence contre les enfants au sein des foyers a triplé entre 2005 et 2007. Les violences infligées aux enfants par les enseignants ont été multipliées par 13.

Selon une enquête menée dans cinq provinces par le Comité vietnamien pour la population, la famille et les enfants en 2006, 58,3 pour cent des enfants interrogés avaient déclaré qu’on les réprimandait par des jurons, des insultes ou des gifles.

Pour Pham Kieu Oanh, spécialiste de la protection de l’enfance au Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF) à Hanoi, cette multiplication des cas de maltraitances est sans doute due en partie au fait qu’un plus grand nombre de cas sont déclarés aux autorités.

« Mais ces statistiques ne représentent que la partie émergée de l’iceberg », a dit Mme Oanh. « Ça ne reflète pas vraiment la réalité. Les statistiques seraient plus élevées si tous les cas étaient déclarés ».

« Si un adulte bat un enfant, personne ne le signale aux autorités concernées », a-t-elle ajouté. « Cela n’arriverait que si l’enfant était grièvement blessé. Là, la police interviendrait. Mais elle règlerait l’affaire en se contentant d’accuser le parent de trouble de l’ordre ou de tapage, plutôt que de maltraitances sur mineur ».

« Nous n’appliquons pas correctement les lois »

Bien entendu, il existe au Vietnam des lois sur les enfants, a dit Duong Tuyet Mien de l’université de droit d’Hanoi. Mais en ce qui concerne les enfants, « nous n’appliquons pas correctement les lois ».

« Gifler un enfant est contraire à la loi, mais personne ne le signale », explique M. Mien, « ce sont des gestes qui sont considérés comme normaux. Selon la loi, il faut que 11 pour cent du corps d’un individu soit couvert de blessures pour que l’affaire relève du pénal ».

Selon les experts, le problème découle en partie du fait que les Vietnamiens pensent généralement aux sévices sexuels lorsqu’on leur parle de maltraitances sur mineurs. Et ils pensent que seules les filles peuvent en être victimes.

« Un grand nombre de gens ne savent pas du tout que les garçons peuvent eux aussi être victimes de sévices sexuels », selon M. Mien. « Ils n’imaginent pas le type de sévices que cela peut représenter. Alors, ils ne pensent jamais que les garçons aient eux aussi besoin d’être protégés ».

Maltraiter les enfants n’est pas bien, a concédé Huynh Tien Thanh, homme d’affaires à Hanoi et père d’un garçon de neuf ans.

« Je ne frappe mon fils que pour lui apprendre à être un homme bien. Bien sûr, il y a des limites. On ne peut pas battre un enfant trop fort », a-t-il tempéré. « Il faut savoir où taper ».

Ce sont ces attitudes qui doivent changer au Vietnam, selon Mme Oanh de l’UNICEF. « Il est vraiment difficile de sensibiliser les populations. C’est la tradition », a-t-elle expliqué. Mais cette façon de penser doit évoluer, selon elle.

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samedi 30 août 2008

NON A LA MALTRAITANCE

La maltraitance des enfants est probablement le maux le plus grave de notre société.l'exploitation sexuelle des enfants se développe à l'échelle mondiale!
La pauvreté est la cause majeure de la prostitution chez les enfants!
Cette prostitution est surtout concentré dans les philippines et le triangle d'or!
On en compte 3millions enfants dont 900000 auraient moins de 16ans!
La prostitution enfantine est organisée pas des trafiquants qui achètent, piègent et exploitent les enfants. Ils répondent à une demande de touristes occidentaux qui sont attirés pas les pubs aguicheuses des "sex tours".
Les conséquences sont grave : SIDA ou encore MST car il manque de moyen de contraception! En plus de ça les enfants sont drogués ce qui favorise le risque du SIDA!
40 A 50000 ENFANTS SONT MALTRAITES ANNUELLEMENT DONT 700 EN MEURENT!!!
TORTURES, SÉVICES SEXUELS, PROSTITUTION, RIEN NE LEUR EST ÉPARGNE!!!

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lundi 11 août 2008

Il force son fils à boire jusqu'à en mourir

La police vietnamienne a arrêté un homme qui a obligé son fils de 7 ans à boire du vin de riz jusqu'à en mourir, a-t-on appris lundi. Nguyen Van Tien, 34 ans, a été interpellé jeudi à son domicile dans la province de Ha Tinh, à 350 kilomètres de Hanoï, explique le directeur du département de police, Phan Thanh Giap.

M. Thien a acheté le 22 juillet une bouteille de vin de riz et a forcé son fils à boire avec lui, indique le directeur. Après 13 verres, le jeune garçon est allé dormir et est décédé dans les heures suivantes.

"La femme de M. Tien était une prostituée. Il pensait qu'il n'était pas le père du garçon et le battait régulièrement. Quelques jours avant sa mort, le jeune garçon a une nouvelle fois été battu par son père qui lui a brisé le bras", a encore expliqué Phan Thanh Giap.

Selon le directeur du département de police, Tien devra probablement répondre d'autres chefs d'inculpation, notamment d'assassinat si l'enquête démontre qu'il a délibérément tué son fils.

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Un père de famille de 27 ans lance sa femme en chaise roulante sous les roues d'une voiture

Un Belge de 27 ans qui vit depuis plusieurs années avec une Finlandaise de 25 ans et leurs trois enfants à Munich (Allemagne), a poussé sa femme, qui se trouvait en chaise roulante, sous les roues d'une voiture de police.

Le couple belgo-finlandais habite Sendling, un quartier de Munich. Mercredi, vers 15 heures, l'homme a disjoncté. Il s'est mis à pousser furieusement sa femme en chaise roulante dans les rues du quartier, suivi par sa petite fille de 5 ans en pleurs, criant que sa femme devait mourir.

Les passants, alertés par les cris de la jeune femme, ont averti la police. Quand celle-ci est arrivée sur place, le forcené a lancé la chaise roulante dans laquelle se trouvait sa femme sous les roues de la voiture de patrouille. La femme est tombée de la chaise et a été légèrement blessée. Elle a été transportée dans un hôpital de la ville.

Le mari a été maîtrisé par la police et inculpé de tentative d'assassinat

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dimanche 10 août 2008

Clandestins, ils travaillaient à la construction de leur prison

Sans-papiers, ils construisaient… un nouveau centre de rétention. Pour le compte de l’Etat. Trois clandestins employés sur un chantier qui dépend du ministère de la Défense travaillaient à l’extension du centre de rétention administrative du Mesnil-Amelot (Seine-et-Marne) quand ils ont été interpellés lundi dernier. Ils se sont ensuite retrouvés à quelques mètres de là… de l’autre côté de la barrière. «Ils ont tous été conduits au centre de rétention», confirme un policier à Libération. Il parle également d’un quatrième homme, arrêté jeudi. Hier, le ministère de l’Immigration n’en comptabilisait que trois. Deux d’entre eux, de nationalité turque, ont été placés en rétention au Mesnil-Amelot, situé au pied des pistes de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. L’un a été libéré par le juge des libertés mercredi. L’autre se trouve encore en rétention : ltikat Tuma, un Turc de 35 ans employé par Intérim Alpha, une agence d’intérim du Loiret. Il confirme depuis le Mesnil-Amelot : «Je suis en France depuis deux ans et demi. J’ai été embauché par cette agence d’intérim pour venir travailler sur l’extension du centre de rétention.» Le troisième, de nationalité indéterminée, a été laissé en liberté avec un arrêté de reconduite à la frontière.

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TF1 s'excuse d'avoir annoncé la mort du petit Louis

Le présentateur du journal de 13H00 sur TF1 a présenté samedi ses excuses à la famille du petit Louis et aux téléspectateurs pour avoir annoncé la veille, de manière erronée, que l'enfant, disparu depuis plus de 30 heures, avait été retrouvé sans vie.

Vendredi soir, en toute fin du journal de 20H00, l'envoyée spéciale de TF1 dans la Drôme, département où se déroulaient les recherches pour retrouver le garçonnet disparu, avait indiqué que Louis avait été retrouvé, mort.

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lundi 4 août 2008

Tambacounda: Une fillette de 7 ans sauvagement violée, sa famille accepte 30 000 FCFA pour étouffer l'affaire

Alors que l'on n'a pas fini d'épiloguer sur le cas du Naïm qui vient d'être fixé sur son sort par le juge du tribunal régional qui l'a condamné à 6 mois d'emprisonnement ferme pour Pédophilie, viol suivi de grossesse, voilà qu'une autre affaire de viol vient défrayer la chronique au quartier Saré Guilél.

Une fillette de 7 ans y a été sauvagement violée par un blanchisseur guinéen. Pour étouffer l'affaire, la famille a accepté la modique somme de 30 000 FCFA. Mais c'était sans compter avec les limiers qui ont mis aux arrêts le mis en cause. « C'est au retour du marché central aux environs de 12 heures que j'ai été surprise de constater que ma fillette de 7 ans est en train de saigner abondamment.

Sur l'origine du sang, elle m'a répondu que c'est un jeune homme qui l'a interpellée avant de l'entraîner dans une chambre pour ensuite abuser d'elle moyennant 100 FCFA. C'est ainsi que j'ai informé le chef de village qui a rappliqué dare- dare à mon domicile pour constater de visu les faits et acheminer la petite au district sanitaire.

Le diagnostic a révélé que son hymen a été malmené par le violeur ». C'est en ces termes que la maman de la fille s'est adressée à nous devant le chef de village et les membres de la famille . une déposition a été faîte devant les limiers enquêteurs qui se sont emparés de cette affaire. Le Guinéen pointé du doigt par la fillette a été également arrêté.

Il répond au nom de Mamadou Saliou Diallo. Âgé de 35ans, il a proposé un arrangement à l'amiable aux parents de la fillette qui à leur tour ont accepté d'étouffer cette affaire moyennant le versement d'une modique somme de 30.000 francs destinée au remboursement des frais médicaux. Seulement les limiers qui s'étaient déjà emparés de cette affaire n'ont pas voulu de cet arrangement à l'amiable.

Mamadou Saliou Diallo alias Balla a été finalement déféré au parquet où il a été dés son arrivée placé sous mandat de dépôt par le procureur Ababacar Sedikh Niang

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dimanche 3 août 2008

OVH compte fermer des serveurs sans préavis pas professionnel du tout

OVH compte encore se battre totalement contre le P2P et le téléchargement illégal. Preuve en est avec une récente annonce, qui indique que l'hébergeur fermera sans préavis et sans remboursement tous les serveurs pour lesquels il reçoit une notification de violation de droit d'auteur.

Cette annonce, publiée sur le forum de l'hébergeur, laisse perplexe. On apprend en effet que OVH souhaite changer de méthode et devenir plus dur au niveau des fichiers protégés par le copyright sur certains serveurs dédiés et accessibles via le P2P. "Maintenant on ferme le serveur immédiatement et on casse le contrat dans la foulé. Les sommes payées ne sont pas remboursées. Il n'y a pas de discussion possible", indique l'hébergeur. Ces mesures, drastiques, sont assez étonnantes et certains webmasters ne les reçoivent pas avec plaisir. "Notre réseau n'a pas vocation à devenir une poubelle d'internet où on peut trouver n'importe lequel divx, exe ou mp3 en quelques minutes", prévient Octave Klaba, le fondateur de OVH. Seulement, les alertes de copyright, envoyées par copyright-compliance.com, ne valent pas grand chose. Personne ne sait en effet comment fonctionne vraiment le système qui régit ces alertes.

Il est normal qu'en tant qu'hébergeur, OVH respecte la loi et supprime l'accès aux serveurs pirates lorsqu'il a connaissance de ces activités. Mais il est plus que affolant qu'il réponde de la sorte à des accusations, parfois très fragiles, et qui peuvent être envoyées par des pirates se faisant passer pour ce service de copyright. Le réseau OVH va dans tous les cas pouvoir être épuré, reste à savoir maintenant si ces mesures ne vont pas leur créer un réel manque à gagner.

pour en savoir plus et defendre vos droits de webmaster

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