vendredi 24 août 2007

est ce que etre sdf fait d'eux des betes ?

Le "Malodore" est comme son nom l'indique, un produit qui pue. Pulvérisé dans un lieu, il y laisse plusieurs semaines durant, une rémanence nauséabonde. "Non dangereux, il est utilisé pour éviter que des gens en état d'ébriété ne stationnent près d'endroits dangereux, sous les ponts ou près des routes", explique Pierre Pasturel, le responsable de la société Firchim, qui a conçu ce répulsif.

Selon l'AFP, la mairie d'Argenteuil a acheté en juillet un carton de "Malodore" pour éloigner les SDF du centre-ville. En tout cas, faire en sorte qu'ils ne reviennent plus puisque la police municipale devait préalablement les éloigner.

Les agents municipaux ont refusé d'obéir। "Le carton précisait que le produit était toxique et irritant, et qu'il ne fallait pas le respirer, alors, les agents ont décidé de ne pas le diffuser, car ils veulent bien 'chasser des rats mais pas des SDF'", a expliqué à l'AFP un agent de la mairie qui a préféré rester anonyme.

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jeudi 23 août 2007

Pascal, 5 ans, violé et étouffé

Des peines de prison à vie ont été requises jeudi à Sarrebruck (ouest) contre cinq des personnes accusées du meurtre et du viol de Pascal, un enfant de 5 ans dont ils auraient abusé en septembre 2001 dans l'arrière-salle d'un café où il est mort étouffé.

Une peine de 14 ans et 9 mois a été demandée contre une autre accusée impliquée dans la mort de l'enfant.
Des peines de 9 à 4 ans et 6 mois de prison ont été réclamées contre cinq co-accusés poursuivis pour complicité dans cette affaire de pédophilie, l'une des plus importantes de ces dernières années en Allemagne.

Le procureur général Josef Pattar a proposé la libération d'un autre accusé, sa présence lors du crime n'étant pas avérée. Le tribunal de grande instance de Sarrebruck doit rendre son jugement le 7 septembre.

Depuis trois ans, le tribunal consacre deux audiences hebdomadaires à cette affaire particulièrement sordide où le jeune enfant a été, selon l'accusation,

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lundi 20 août 2007

Licencié pour avoir refusé une mutation au Nigeria

Il avait refusé cette mission par trois fois. Marié et père de deux enfants, cet employé de Total, s'est vu proposer, en avril dernier, un poste de responsable géologue dans le cadre de l'exploitation d'un champ pétrolifère au Nigeria. Pour justifier son refus, l'homme a mis en avant sa situation familiale et la dégradation des conditions de sécurité dans ce pays.

De son côté, Total a indiqué que "la direction des ressources humaines a tout fait pour trouver un compromis et réfléchir à une solution qui l'aurait satisfait"। "A Lagos (capitale du Nigeria, ndlr), la sécurité de nos salariés est assurée" et elle "reste notre première priorité", a ajouté une porte-parole. Dans la lettre de licenciement, le DRH de Total affirme que le "refus d'accepter une mobilité géographique à échéance d'un an vers le Nigeria constitue une violation (des) obligations contractuelles" du technicien. Selon la direction, cette mobilité spécifiée dans "l'article 3 de (son) contrat de travail, se traduit par des missions tant en France qu'à l'étranger en raison de la nature des activités" du groupe Total.

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vendredi 17 août 2007

3 agresseurs d'homosexuels incarcérés en attendant leur procès

Trois jeunes hommes dont un mineur, soupçonnés d'avoir agressé deux homosexuels sur un parking à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines), ont été incarcérés jeudi en attente de leur procès en septembre, a-t-on appris vendredi auprès du parquet de Versailles.

Le procès des deux adultes, âgés de 18 et 33 ans, qui devaient être jugés jeudi en correctionnelle pour "violences volontaires en raison de l'orientation sexuelle des victimes" a été reporté au mois de septembre.

"Sur le plan civil, l'affaire n'était pas en état d'être jugée" a expliqué le parquet à l'AFP confirmant une information du Parisien. Le mineur, "qui est le plus impliqué", doit également être jugé au mois de septembre, selon la source.

Les faits remontent à la nuit de lundi à mardi. Les trois jeunes ont agressé deux hommes de 50 et 30 ans discutant dans une voiture sur le parking de l'étang de Corra, connu comme un lieu de rencontres homosexuelles en bordure de la forêt de Saint-Germain-en-Laye.

La plus jeune des deux victimes est parvenue à prévenir une patrouille de police qui passait à proximité। L'autre victime s'est vu prescrire 31 jours d'interruption temporaire de travail.



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Faut arreter un peu d'etre trop bon avec ces monstres

L'enfant de 5 ans enlevé mercredi à Roubaix (Nord) et retrouvé quelques heures plus tard a subi des "sévices sexuels" de la part de son ravisseur présumé qui devrait être mis en examen vendredi pour "enlèvement" et "viol aggravé", a annoncé jeudi la vice-procureur de Lille.


"Selon les premières déclarations de l'enfant, il a dit avoir souffert de sévices sexuels, ce que (le ravisseur présumé) a déjà en partie reconnu", a expliqué la vice-procureur de la République du tribunal de Lille, Valérie Courtalon, lors d'une conférence de presse.

L'homme a déjà été condamné en 1975 à 15 ans de réclusion criminelle pour attentats à la pudeur sur mineurs, en 1985 à 4 ans de prison pour des faits identiques et en 1989 à 27 ans de réclusion criminelle, dont deux tiers de sûreté, pour viol sur mineur de 15 ans.

Il a été libéré le 2 juillet après "avoir effectué toute sa peine", a-t-elle précisé.

Agé de 61 ans, l'homme a été interpellé vers minuit dans le box fermé d'un parking à Roubaix (Nord), où il détenait l'enfant disparu quelques heures plus tôt.

Le garçonnet, Enis, avait été enlevé mercredi vers 14H30 après avoir échappé à la vigilance de sa grand-mère। Il se trouvait alors à une cinquantaine de mètres de chez lui, dans une rue où se déroulait une braderie, dans un quartier populaire de Roubaix.

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lundi 13 août 2007

contre la corrida



Peu importe les pretextes d'arts, de divertissement, de jeux ou bien encore celui hallucinant de l'esthetisme, peu importe les decorations et les deguisements eblouissants...
LE BUT ULTIME DE LA CORRIDA EST DE MASSACRER UN ANIMAL DESIGNE, DE LE TORTURER ET LE BOUQUET FINAL LE MUTILER...

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samedi 11 août 2007

Pédophile présumé relâché

L'homme de 50 ans avait été arrêté dimanche à Disneyland Paris. Il avait placé du poil à gratter dans les sous-vêtements de fillettes pour ensuite les filmer lorsqu'elles baissaient leurs culottes pour se gratter. Son maintien en liberté fait polémique.
Un habitant de Saint-Maurice (Val-de-Marne), soupçonné d'être un pédophile, a été mis en examen mardi 7 août, a-t-on appris mercredi. Selon une source judiciaire, l'homme, qui avait été arrêté dimanche à Disneyland Paris, a été placé sous contrôle judiciaire avec obligations de soins.
Celui-ci, âgé de 50 ans, a été mis en examen pour violences volontaires sans incapacité totale de travail (ITT), détention et importation d'images pornographiques, agressions sexuelles sur mineurs de 15 ans et viol. Le parquet s'apprête à faire appel du placement sous contrôle judiciaire du pédophile présumé. Le procureur avait requis la détention provisoire.

L'homme a reconnu les faits

Ce sont des touristes de Disneyland qui avaient repéré l'homme alors qu'il filmait des fillettes qui avaient baissé leur culotte pour se gratter les fesses, selon la police. Il pourrait leur avoir mis du poil à gratter à leur insu pour pouvoir les filmer ensuite.
Les policiers, alertés par la direction du parc d'attractions, ont trouvé au domicile de l'accusé des images pédo-pornographiques dans son ordinateur. Des sources policières ont indiqué qu'ils avaient également trouvé des DVD comportant des images pédophiles, qu'il avait lui-même filmées ou enregistrées sur internet.
Une source judiciaire a indiqué que l'homme avait reconnu les faits, dont la plupart remontent à plusieurs années. Il est également soupçonné d'avoir agressé sexuellement deux adolescentes de sa famille et les enfants d'amis en Haute-Garonne.

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Une adolescente égyptienne de 13 ans meurt pendant son excision

Une adolescente égyptienne de 13 ans est décédée lors d'une opération d'excision dans un village du Delta du Nil, rapporte samedi le quotidien égyptien indépendant Al-Masri Al-Yom.

Karima Rahim Massoud avait été amenée par son père dans un cabinet médical de Kafr Gaafar, dans le gouvernorat de Gharbiya, pour être excisée. Sa mort serait liée à l'anesthésie et non à l'opération elle-même, d'après le journal. L'affaire a été découverte par un autre médecin, que le père de Karima a sollicité pour établir un certificat de décès. Le cabinet médical a été fermé et le médecin qui a opéré l'adolescente et son père sont actuellement interrogés.

Selon le quotidien, le ministre de la Santé, Hatem al-Gabali, a demandé que le médecin ne soit plus autorisé à exercer, conformément à un décret ministériel du 28 juin 2007. Dans ce décret, le ministère interdisait "définitivement" et "à tout médecin ou membre du corps médical et autres" de mener cette opération qui remonte au temps des pharaons, sous peine de sanctions. L'excision, qui consiste en une ablation totale ou partielle des parties génitales féminines, est une pratique ancestrale très largement répandue en Egypte.

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Le maire leur mène la vie dure

Gélaucourt est un bucolique village lorrain, fier de ses 1 300 espèces de fleurs. Pourtant, derrière ce décor idyllique se cachent des rancoeurs qui ont fini par éclore au grand jour sous la forme d’une forêt de pancartes. Leur cible déclarée : le maire.
« Ici vit, à 85 ans, la doyenne du village, qui vit au quotidien dénigrement et harcèlement depuis trente ans », annonce un panneau, placé bien en évidence sur une porte de grange। La vieille dame qui réside dans la ferme endure un calvaire depuis 1980. Elle met en cause le maire. Récemment, il aurait fait ôter le lampadaire et casser le trottoir devant sa maison pour y mettre une vigne. Pour elle, ce sont surtout les raisins de la colère.

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mardi 7 août 2007

Une mère de famille est révoltée

Les parents qui soupçonnent leur enfant d'être atteint d'un trouble envahissant de développement - dont l'autisme - doivent s'armer de patience. À Granby, on compte un an d'attente pour obtenir un diagnostic.

Une année perdue puisque ce diagnostic est nécessaire pour que les parents aient accès au programme de stimulation intensif offert dans le réseau public.

«Je suis révoltée!», lance Chantal Godère. La Sheffordoise est allée aux États-Unis pour recevoir une formation afin d'être en mesure d'aider sa fille de trois ans, qu'elle croit atteinte d'un trouble envahissant du développement, en espérant d'avoir de l'aide du réseau public de santé.

Elle ne pensait jamais qu'il s'écoulerait une année complète entre le premier rendez-vous chez le médecin de famille d'Elizabeth et cette rencontre avec un pédopsychiatre du CSSS de la Haute-Yamaska qui devrait leur donner l'heure juste, le 21 septembre prochain.

Au cours de cette année, Elizabeth a subi des évaluations et obtenu quelques rendez-vous chez une orthophoniste de l'hôpital de Granby et a reçu de l'aide d'une technicienne en éducation spécialisée du CLSC depuis le printemps dernier. Ses parents ont aussi fait appel à une orthophoniste et à une psychologue oeuvrant dans le secteur privé.

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Torturé par deux copains

D'accord, Andy F. est une crapule. Même le procureur le reconnaît. Mais avait-il mérité une telle séance de torture ? Le crâne défoncé à coups de briques et de crosse de fusil, la joue brûlée contre un poêle ardent, le corps lardé de morceaux de verre : on peut dire que le Boussutois n'a pas passé une agréable matinée le 13 janvier dernier. Au point que ses tortionnaires ont été inculpés pour traitement inhumain, avec circonstance aggravante de mutilation grave, perte d'un organe et incapacité permanente.

Ses bourreaux ? Deux copains de la cité d'Autreppe, Fabrice L. (22 ans) et Harchi A. (27 ans), qui ont comparu hier menottés devant le tribunal de Mons. À leurs côtés, Dimitry D., 38 ans, beau-père de Fabrice. Andy, lui, était absent. Il n'a même pas osé se constituer partie civile. Le 13 janvier, après une nuit arrosée, Fabrice a été victime de deux cambrioleurs venus lui dérober sa Playstation. Le jeune homme n'a pas apprécié. D'autant qu'il a cru reconnaître la voix de l'un d'eux : celle de son pote Andy... Lequel est venu prendre de ses nouvelles un peu plus tard, aussi innocent que l'agneau. Fou de colère, Fabrice est parvenu à attirer le traître chez lui avec l'aide de leur copain commun Harchi. S'ensuit la dérouillée décrite plus haut, sous le regard impassible de Dimitry.

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samedi 4 août 2007

Un déficient mental était battu et privé de nourriture par son beau-père

Gérard, un déficient mental de 22 ans, se faisait interpeller dans un magasin alors qu'il tentait de voler de la nourriture. Gérard avait le visage tuméfié et ne pesait plus que 48 kilos pour 1 m 80. Il présentait des hématomes et avait le nez cassé. Il a expliqué qu'il volait pour manger car Éric, son beau-père, le battait et refusait de le nourrir, sans que Marie, sa maman, ne réagisse.

Le jeune homme aurait été obligé de faire le ménage et lorsque celui-ci n'était pas bien fait, son beau-père l'aurait privé de nourriture durant plusieurs jours.

Éric a déjà été condamné à 11 mois de prison pour avoir frappé le frère de Gérard, un mineur également handicapé. Suite à ces faits, les enfants ont été placés.

Marie, 47 ans, et Éric, 39 ans, ont comparu devant le tribunal correctionnel de Liège pour coups, non-assistance à personne en danger, traitements inhumains et privation de nourriture।

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jeudi 2 août 2007

Il prétend l'avoir fait pour "résoudre ses difficultés financières"

PERWEZ David Bodart, le président du Télévie de Perwez, a "emprunté" 17.000 euros de l'ASBL Télévie de la commune. L'homme, également conseiller communal cdH et employé au cabinet du ministre wallon André Antoine, était en proie à des problèmes financiers, rapporte mercredi un quotidien francophone.

L'"emprunt" avait été découvert il y a quelques jours par les membres du comité Télévie, qui avaient l'intention d'utiliser l'argent. David Bodart, le président du comité, avait été obligé d'avouer qu'il avait emprunté discrètement les 17.000 euros, pour tenter de résoudre ses difficultés financières.

David Bodart avait promis de rembourser l'argent très rapidement, mais n'y était pas parvenu. Mardi soir, le comité se réunissait à nouveau pour parler du problème et le principal intéressé a promis de rembourser jeudi.
André Antoine, bourgmestre empêché de Perwez et employeur de David Bodart, a réagi en se disant "à la fois surpris et consterné". Il a immédiatement licencié David Bodart et lui a demandé de démissionner de son poste de conseiller communal. David Bodart a entre-temps démissionné du poste de président du Télévie de Perwez. Une plainte pourrait en outre être déposée au parquet./

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